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Trina Solar fait certifier un panneau PV monocristallin avec une puissance de 335,2 W

Silicium>Panneaux >Chine>R&D
20-10-2014 05:59:50 :

Le Chinois Trina Solar détient désormais le record de rendement dans les panneaux photovoltaïques de la filière silicium monocristallin type P, avec un module de 335,2 Wc intégrant 60 cellules solaires de sa gamme Honey de hautes performances au format 156 x 156 mm …
 
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La puissance a été certifiée par le TÜV Rheinland. En avril dernier, le Chinois avait déjà obtenu un rendement de 326,3 Wc avec un panneau PV comportant 60 cellules solaires Honey standard.

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Le collecteur solaire thermique en polymère bas coût démontre son efficacité en Norvège

Solairethermique>Europe>Industrialisation>R&D
11-10-2014 17:24:07 :

Un consortium d'industriels et institutionnels coordonnés par l'institut de R&D Fraunhofer-ISE a mis au point des collecteurs solaires thermiques en plastique dans le cadre du projet européen SCOOP (Solar Collectors Made of Polymers). Le partenaire Aventa, un spécialiste norvégien à la fois dans le solaire thermique et dans les polymères, vient d'installer ces collecteurs sur un site de démonstration de 34 maisons mitoyennes passives réalisées à Mortensrud près d'Oslo, pour le compte du constructeur immobilier norvégien OBOS. Objectif : couvrir jusqu'à 62% des besoins en eau chaude et chauffage …


L'objectif du projet SCOOP consistait à développer des collecteurs solaires thermiques en polymères répondant à des critères à la fois de fonctionnalités, de faible coût et d'esthétique. Les maisons mitoyennes du lotissement Stenbråtlia sont équipées de ces collecteurs solaires thermiques en polymères sur leurs toitures exposées au Sud. Le site est un projet pilote à la fois pour le solaire thermique et pour le bâtiment. Les collecteurs solaires thermiques intégrés en toiture répondent aux souhaits des architectes et des maîtres d'ouvrages. Chaque maison dispose d'une surface de 14 m2 de collecteurs entièrement réalisés en polymères extrudés. L'eau chaude sanitaire et le chauffage (par le sol) sera fourni par le système solaire grâce à un ballon de stockage de 800 litres.

Pour en savoir plus sur le projet, cliquer sur SCOOP

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CPV : un rendement record de 36,7% pour un module avec cellules solaires à jonctions multiples

CentralesPV>Panneaux >France>Allemagne>Technologies>R&D
10-10-2014 10:20:43 :

L'Institut Fraunhofer ISE pour les systèmes d'énergie solaire de Fribourg (Allemagne) et Soitec Solar affichent un nouveau record dans le solaire photovoltaïque à concentration (CPV) : un module photovoltaïque à concentration avec un rendement de conversion record de 36,7% ! Dans le module, les lentilles Fresnel nécessaires à la concentration ont été adaptées à la structure des cellules solaires à quadruple jonction de nouvelle génération développées par la société française. L'industrialisation de ce module devrait intervenir d'ici deux ans …


Le Fraunhofer ISE a développé le solaire photovoltaïque à concentration (CPV) et mis au point la technologie de module CPV Flatcon à lentilles de Fresnel utilisée par Soitec Solar (qui avait repris fin 2009 Concentrix Solar, l'essaimage de l'institut de R&D). Le record de 36,7% a pu être atteint grâce à l'utilisation des cellules solaires à quadruple jonction récemment développées par Soitec Solar sur la base de sa technique de wafer bonding en coopération avec le Fraunhofer ISE. Le nouveau module Flatcon intègre ces cellules solaires de nouvelle génération, en combinaison avec des lentilles de Fresnel fabriquées par le partenaire industriel Orafol Fresnel Optics selon un design inédit. La zone d'ouverture, ou la surface du module réellement exposée à la lumière radiative du soleil, est de 832 cm2. La lumière est concentrée d'un facteur 230 sur 52 cellules solaires de 7 mm2 à l'aide de 52 lentilles de Fresnel de 16 cm2. « Notre réussite démontre que les rendements élevés des nouvelles cellules solaires à quadruple jonction de Soitec sont transférables au niveau module », a dit Andreas Bett, responsable de la recherche sur la technologie CPV au Fraunhofer ISE.

Soitec avait dévoilé il y a un an un rendement de conversion record de 44,7% pour sa nouvelle génération de cellules solaires à quadruple jonction, seulement quelques semaines après avoir annoncé un rendement de 31,8% dans le domaine des modules CPV avec les cellules solaires de la précédente génération. Voir
ici et ici

Rappelons que le solaire PV à concentration est particulièrement bien adapté aux régions très ensoleillées où ils permettent de produire de l'électricité pour moins de 8 c€/kWh. Le rendement de la cellule solaire et l'efficacité de l'optique de concentration restent les deux éléments clés de cette technologie.

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Alliance dans le solaire à très haute concentration pour la production d'électricité et de chaleur ou de froid

CentralesPV>Solairethermique>Europe>Industrialisation>R&D
06-10-2014 06:13:00 :

La société suisse Airlight Energy, spécialisé dans l'énergie solaire et le stockage, s'est alliée à IBM Research pour développer et industrialiser un système d'énergie solaire à très haute concentration, appelé HCPVT pour High Concentration PhotoVoltaic Thermal, à la fois innovant et plus économique que les solutions photovoltaïque à concentration existantes. Le système fait appel à un réflecteur parabolique de 40 m2 pour concentrer le rayonnement solaire d'un facteur 2000 et en convertir 80% en énergie utile, avec la production de 12 kW d'électricité solaire et de 20 kW de chaleur en une journée d'été par exemple. Sa disponibilité est prévue pour 2017 …


Le système HCPVT ressemble à un tournesol géant de 10 mètres de haut qui suit la course du soleil au cours de la journée. L'intérieur du réflecteur est équipé de 36 miroirs elliptiques réalisés dans un plastique fin recyclable de 0,2 mm d'épaisseur, recouvert d'une couche ultramince d'argent. Le réflecteur est réalisé dans un matériau de type fibrociment qui aurait des caractéristiques mécaniques similaires à l'aluminium mais un coût cinq fois moindre. Les surfaces des miroirs concentrent le rayonnement solaire sur des récepteurs composés d'un réseau dense de puces solaires à jonctions multiple de haut rendement (similaires à celles utilisées dans des applications satellitaires). Chaque puce de 1 x 1 cm2 produirait jusqu'à 57 W de puissance par une journée d'été ensoleillée. Les puces sont montées sur un système de micro-structures qui permet un refroidissement liquide (l'eau absorberait la chaleur, un concept déjà utilisé par IBM pour des supercalculateurs), plus efficace qu'un refroidissement par air. Le système peut être adapté ou transformé pour faire du froid, ou de la climatisation solaire.

Airlight Systems a créé la société Dsolar pour commercialiser le système HCPVT ainsi que des licences d'exploitation de la technologie. Un premier démonstrateur du récepteur solaire avait déjà été développé lors d'une coopération avec l'Egypt Nanotechnology Research Center. Parmi les marchés visés figurent les pays émergents et les applications autonomes hors réseau électrique (fermes, hopitaux de campagne, hôtels, sites touristiques, etc), ainsi que des marchés plus matures avec des problèmes de disponibilité et de coût des terrains, ou un besoin de « certification verte » et/ou d'une architecture intégrée et esthétique, en Europe, en Afrique, dans la péninsule arabe, dans le Sud-Ouest des Etats-Unis, en Amérique latine, au Japon et en Australie. Selon les chercheurs, les systèmes pourraient afficher une longévité de 60 ans avec une maintenance adaptée pour le remplacement, par exemple, des films plastiques des récepteurs tous les 10 à 15 ans, et des cellules solaires tous les 25 ans.

Airlight Energy et IBM prévoient de faire don d'un système HCPVT à deux organisations méritantes, le premier fournissant le matériel et le deuxième les services. Un appel à projets devrait être lancé en 2015.

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Les systèmes « agrivoltaïques » à l'honneur lors du 18e appel à projets du FUI

Silicium>CentralesPV>France>Stratégie>Industrialisation>R&D
06-10-2014 06:11:21 :

Le projet de recherche et développement intitulé Sun Agri 2B de Tenerrdis, pôle de compétitivité dédié aux nouvelles technologies de l'énergie, a été sélectionné lors du 18e appel à projets du FUI (Fonds Unique Interministériel). Porté par la société Sun'R , ce projet vise la conception et l'étude de systèmes « agrivoltaïques » afin de produire de l'électricité tout en favorisant l'agriculture et en prévenant l'artificialisation des sols …


Au total, deux projets de Tenerrdis ont été sélectionnés par le FUI dans le cadre du 18e appel à projets, Sun Agri 2B dans le photovoltaïque et VaDéO dans la valorisation de déchets, impliquant trois PME, deux ETI, un grand groupe et trois laboratoires de recherche. Ils représentent un investissement de 5 M€ et seront financés à hauteur de 2 M€ par l'Etat et les collectivités territoriales. Depuis 2005, l'ensemble des appels à projets du FUI a permis de soutenir 52 projets labellisés par Tenerrdis, pour un budget total de 180 millions d'euros et un financement public de plus de 70 M€.

Le projet Sun Agri 2B inclut d'une part le développement de systèmes de montage des panneaux photovoltaïques sur trackers à 4,5 mètres au-dessus du sol et de contrôle commande spécifiques, à même de piloter en temps réel et à la demande l'orientation des panneaux, sans interférer sur les pratiques culturales, et d'autre part l'élaboration de lois de commande des trackers, qui seront pilotés de façon complexe pour optimiser en priorité la production agricole et ensuite la génération d'électricité. Un démonstrateur de 2 MWc sera aussi réalisé sur une exploitation viticole dans le sud de la France.
 
De tels systèmes permettent de réaliser une association symbiotique entre production agricole et production d'électricité photovoltaïque, chacun tirant un avantage pour son activité. Le marché cible les exploitations viticoles et/ou maraîchères situées dans des zones fortement ensoleillées, sensibles aux impacts liés aux changements climatiques, et confrontées à des besoins importants en énergie. C'est le cas du sud de l'Europe, mais aussi des Etats-Unis, de certaines régions de l'Inde, de la Chine et de l'Afrique.

* Co-labellisé par les pôles de compétitivité Terralia et Derbi.

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Le photovoltaïque va alimenter des capteurs tissés dans les textiles intelligents

Autretechno>CentralesPV>France>Industrialisation>R&D
06-10-2014 06:09:36 :

Les porteurs des projets SOL-TEX et Smart Sensing, respectivement Sunpartner Technologies et Cityzen Sciences, ont annoncé leur coopération afin d'accélérer l'arrivée sur le marché de textiles intelligents et connectés, autonomes en énergie. Lancé en février dernier, le projet SOL-TEX vise à mettre au point un fil photovoltaïque intégrable dans les nappes de fils standards utilisés pour tisser ou tricoter des textiles (voir notre article). Démarré en 2012, le projet Smart Sensing porte, lui, sur le développement et l'industrialisation de vêtements intelligents intégrant des capteurs dans leur tissage …


Complémentaire, les deux projets le sont assurément. Le projet Smart Sensing* a été confronté dès son lancement à la problématique de l’alimentation électrique des vêtements. Les solutions basées sur des piles ou batteries embarquées présentent en effet des limites, notamment sur l'aspect pratique. L'idée de SOL-TEX pourrait assurer, elle, l’alimentation en autonome d'un système pendant toute la durée de vie du produit, sans impact sur le produit textile. Au plan technique, des choix judicieux en particulier pour l’intégration des fils PV et autres capteurs dans le textile permettraient d’accélérer l’industrialisation de solutions globales. En plus de sa fonction d’alimentation de fonctions électroniques, le fil PV de Sunpartner, intégré au tissu d’un T-shirt ou d’un sac à dos, pourrait aussi assurer par exemple la charge d’instruments électroniques portables tels qu’un téléphone mobile, un GPS ou une balise de détresse. Vêtements techniques et équipements sportifs d’extérieurs pourraient ainsi fonctionner de manière autonome en énergie. Afin de préparer l’introduction de sa technologie, le consortium SOL-TEX a mis en place un club utilisateurs, dont la vocation est de rassembler des acteurs français et internationaux du textile.

Les deux projets sont co-financés par Bpifrance.

* Des produits issus de la technologie développée dans le cadre de Smart Sensing, en l'occurrence un D-shirt (pour Digital Shirt) et un cuissard vélo, seront en vente dès 2015 pour le grand public.

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Nouveau record de rendement de conversion en technologie CIGS

Couches minces>Cellules >Allemagne>Technologies>R&D
29-09-2014 07:07:02 :

Les chercheurs du ZSW (centre de recherche sur l'énergie solaire et l'hydrogène du Bade-Wurttemberg) de Stuttgart, en Allemagne, viennent d'obtenir un rendement de conversion de 21,7% pour des cellules solaires à couches minces CIGS (cuivre-indium-gallium-sélénium). Ce résultat de laboratoire a été atteint avec des machines et un procédé de fabrication par « co-évaporation » développés depuis des années avec l'équipementier Manz


Le record a été confirmé par le laboratoire Fraunhofer-ISE de Fribourg/Brisgau (Allemagne). Le ZSW avait développé son procédé CIGS en coopération avec Würth Solar qui a, depuis, jeté l'éponge dans ce secteur et revendu l'ensemble de ses activités fin 2011 à son compatriote Manz. Ce dernier dispose ainsi d'une ligne pilote pré-industrielle de 30 MW pour l'assemblage de panneaux PV CIGS. En 3 ans, le rendement de conversion a été amélioré de plusieurs pourcents, et la barre des 18% de rendement pour les panneaux PV CIGS devrait maintenant être atteignable dans un avenir pas si lointain, contre environ 15% aujourd'hui, estime Michael Powalla, responsable du laboratoire PV au sein du ZSW.

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Kyocera participe au programme de recherche de l'IMEC sur les cellules solaires du futur

Silicium>Cellules >Europe>Japon>Reste du monde>Stratégie>R&D
29-09-2014 07:05:51 :

Kyocera rejoint un programme de recherche industrielle de l’institut belge en nanoélectronique IMEC, qui vise à développer une nouvelle génération de cellules solaires en silicium cristallin. Appelé IIAP (IMEC's industrial affiliation program), ce programme de R&D a pour objectif d'améliorer le rendement des cellules solaires et des panneaux photovoltaïques tout en diminuant leur coût …

Le programme consiste à travailler sur différentes technologies de cellules solaires en silicium cristallin avec des rendements de conversion de 22,5 % à 25 %. Les chercheurs de l’IMEC, les fabricants de cellules solaires, les assembleurs de panneaux photovoltaïques ainsi que les fournisseurs de matériaux et d’équipements couvrant l’ensemble de la chaîne de valeur coopèrent ainsi pour peaufiner les procédés puis testent ces derniers sur une ligne pilote pré-industrielle de l'IMEC.

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Les grands rendez-vous de l'automne ...

CentralesPV>Solairethermique>France>Europe>Industrialisation>R&D
12-09-2014 17:47:34 :

La 10ème édition de la conférence européenne EuroSun organisée par l’INES avec ISES Europe, se déroulera au Centre des Congrès d’Aix-les-Bains du 16 au 19 septembre prochain, quarante ans après le dernier congrès international sur le solaire thermique organisé en France – en juillet 1973 – une conférence biennale qui traitera notamment de chaud et de froid solaire, de solaire passif et de photovoltaïque. …

A l'occasion d'EuroSun, scientifiques, ingénieurs, architectes et représentants de l'industrie seront présents à Aix-les-Bains pour aborder les dernières avancées de leur domaine et les opportunités du secteur pour les années qui viennent au cours de vingt-et-une sessions sur trois jours et 250 présentations sur l’énergie solaire et l’énergétique du bâtiment sélectionnés par un jury d’experts. En parallèle se tiendront aussi les États généraux de la Chaleur Solaire seront organisés le 16 septembre avec Enerplan, une journée de rencontre pour tous les professionnels de la filière solaire thermique autour de tables rondes et d'ateliers. Pour plus d'informations, cliquer ici

Pour la communauté du photovoltaïque, le grand rendez-vous cet automne s'appellera EU PVSEC 2014 et se tiendra du 22 au 26 septembre au RAI Convention and Exhibition Centre d'Amsterdam, aux Pays-Bas. La 29e édition de l'European Photovoltaic Solar Energy Conference and Exhibition comprendra, comme à l'habitude, trois jours d'exposition du 23 au 25 septembre au milieu des cinq journées de conférences qui comptent cette année 87 sessions avec quelque 1500 présentations de ressortissants de 71 pays et 1150 posters. Pour en savoir plus sur EU PVSEC 2014 et tous les événements parallèles, cliquer ici

Mardi 30 septembre, l'association Cleantuesday organise un débat sur l'autoconsommation électrique avec une comparaison France-Allemagne, en partenariat avec Germany Trade and Invest (GTAI) et Pers-EE. Cet événement présentera des approches comparées de plusieurs startups comme Forsee Power, Comwatt ou encore Mylight. Rappelons que l'association s'est fixé pour but de supporter le développement des « éco technologies innovantes » en France et rassemble des professionnels et des spécialistes du secteur. La soirée sur l'autoconsommation se déroulera à partir de 18h30, Pepiniere 27, 27 rue du Chemin Vert à Paris. Pour plus d'informations, cliquer ici. Auparavant, le crowdfunding ou financement participatif, qui fait une apparition en flèche dans les Cleantech actuellement, sera au centre d'une rencontre organisée à Paris par le réseau CrowdTuesday le 16 septembre prochain. Pour en savoir plus, cliquer ici

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Leclanché s'allie à l'EPFL pour la recherche sur le stockage de l'énergie solaire

CentralesPV>Autres composants>Europe>R&D
08-09-2014 06:17:58 :

Le Suisse Leclanché développe, en coopération avec le laboratoire des systèmes électriques distribués de l'Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL) et le producteur d'énergies de sources renouvelables Romande Energie, un système complet pour le stockage de l'énergie solaire. Prévu pour une durée de deux ans, le projet de R&D bénéficiera d'une subvention de 2 millions de francs suisses octroyé par le canton de Vaud dans le cadre de son programme de 100 millions de francs suisses de subventions pour les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique …

Les chercheurs prévoient de faire appel à une batterie novatrice de type Li-ion utilisant du titanate de lithium à la place du graphite dans l'anode. Le système, qui sera testé sur la centrale photovoltaïque de 2 MW que Romande Energie a installé sur les toits du campus de l’EPFL, inclura aussi un système de gestion de la consommation de l'énergie, avec une optimisation de la consommation de pointe.

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Rendement de conversion : 21,5% pour l'Imec en c-Si, 21% pour First Solar en CdTe

Silicium>Couches minces>Cellules >Europe>Etats Unis>R&D
01-09-2014 06:25:49 :

L'Imec, institut de recherche dans la microélectronique et les composants, a dévoilé une cellule solaire de type PERT (Passivated Emitter, Rear Totally diffused), réalisée dans ses laboratoires sur une tranche de 156 mm x 156 mm de silicium cristallin (substrat n) et affichant un rendement de conversion de 21,5% …

Pour plus de détails, cliquer ici

First Solar a présenté une cellule solaire réalisée dans sa technologie PV à couches minces en tellurure de cadmium (CdTe) affichant un rendement de conversion de 21%. Certifiée par le PV Lab de Newport, cette performance a été obtenue seulement quelques mois après les 20,4% de février dernier. Elle est répertoriée sur le graphique du laboratoire américain NREL qui récapitule les meilleurs rendements obtenus dans les différentes technologies de cellules solaires. Pour le consulter, cliquer ici. En mars dernier, la firme américaine avait dévoilé une feuille de route fixant un objectif de 22% d'ici 2015. En production, le rendement de conversion moyen des panneaux photovoltaïques CdTe se situait à 14% au 2e trimestre 2014.

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CIGS : Siva Power en marche vers un coût de production de 0,28 $/W d'ici 4 ans

Couches minces>Panneaux >Etats Unis>Stratégie>Industrialisation>R&D
07-07-2014 16:05:21 :

La jeune pousse Siva Power (ex-Solexant, voir notre article) publie sa feuille de route technologie de panneaux photovoltaïques à couches minces CIGS avec un objectif de 0,28 $/W en termes de coût de production d'ici quatre ans sur une ligne d'assemblage de 300 MW …


La société estime pouvoir atteindre son objectif de coût de 0,28 $/W en optimisant toutes les étapes du procédé de fabrication, en se fondant entre autres sur des techniques et sur des équipements automatisés déjà éprouvés notamment dans la production d'écrans plats (également sur substrat verre). Avec une seule ligne d'assemblage atteignant 300 MW de capacité, la société californienne estime déjà pouvoir atteindre un coût de production de 0,40 $/W dans deux ans, « soit nettement moins que les quelque 0,74 $/W des meilleurs fournisseurs actuels de cette technologie mais aussi moins que les 0,55 à 0,70 $/W des meilleures filières silicium en Chine. »

Selon Siva Power, son objectif de coût est réalisable n'importe où dans le monde, en Chine, aux États-Unis ou ailleurs. La société, qui a par ailleurs atteint un rendement de conversion de 18,8% en laboratoire au début de l'année, fait appel à un procédé d'intégration monolithique (MLI) avec dépôt de couches ultraminces par « co-évaporation » directement sur un substrat verre pour réaliser ses panneaux photovoltaïques à couches minces CIGS. « Notre feuille de route technologique se fonde sur une usine de grande capacité, une production de fort volume et des rendements compétitifs. L'usine du futur doit en outre être hautement automatisée », résume Brad Mattson, CEO de Siva Power. Pour l'instant, la jeune pousse est en train de se doter d'une petite ligne d'assemblage pilote, avant de passer à la commercialisation de sa technologie CIGS.

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DualSun obtient un financement public pour son projet de R&D DualPLAS

Silicium>Panneaux >Solairethermique>France>Investissements>R&D
27-05-2014 15:58:12 :

La jeune pousse DualSun, qui s'est lancée en 2010 en visant le solaire hybride, dévoile son projet de R&D DualPLAS pour concevoir la 2e génération de son panneau solaire thermique et photovoltaïque. Ce projet d'un budget total de 2 millions d'euros vient d'être retenu pour un financement par l'état et les collectivités territoriales à hauteur de 900000 euros …


Prévu pour une durée de quatre ans, le projet réunit plusieurs partenaires, dont notamment le CEA et l'INES. Il a été présenté par les pôles de compétitivité Capenergies, Tenerrdis et Derbi au 17e appel à projets collaboratifs du Fond unique interministériel des pôles de compétitivité (FUI 17), et vise à développer une seconde version du DualSun, plus performante, plus légère et plus accessible (voir notre article).

La première version DualSun, panneau solaire nouvelle génération permettant de produire à la fois de l'eau chaude et de l'électricité qui bénéficie de la certification PV-T, est actuellement commercialisée. DualSun en quelques chiffres : une équipe de 8 personnes avec une moyenne d'âge de 28 ans, 3 années de développement pour la 1ère version de la solution hybride, 200 k€ de chiffre d'affaires l'an passé, 163 panneaux installés et 18 installations réalisées. Une installation avec 180 panneaux DualSun est en cours de réalisation au siège de Bouygues Construction à Saint-Quentin-en-Yvelines, avec une finalisation prévue le 12 juin prochain. L'Echo du solaire y sera. A suivre ...

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Rendement de conversion : 16,2% dans le CIGS pour Midsummer, 21% en technologie PERC pour Schmid

Couches minces>Cellules >Allemagne>Europe>Industrialisation>R&D
27-05-2014 15:57:19 :

La société suédoise Midsummer, spécialisé dans des équipements pour la fabrication de cellules solaires à couches minces en technologie CIGS, affiche un rendement de conversion de 16,2% dans des conditions réelles de production. Les cellules solaires sont réalisées sur un substrat acier, avec un procédé de dépôt à sec et entièrement sous vide …

Le record précédent de Midsummer se situait à 15%. Le système de production se fonde sur un procédé de fabrication de cellules solaires individuelles qui sont ensuite assemblées en « strings » comme pour les panneaux PV en filière silicium cristallin. Cette approche permet de réaliser des modules flexibles avec une grande variété de formes et de dimensions. La société propose un équipement économique destiné à la R&D dans les cellules solaires CIGS (cuivre, indium, gallium, sélénium) voire CZTS (cuivre, zinc, étain, sulfure), appelé UNO, qui peut également servir à une multitude d'applications faisant appel au dépôt successif de matériaux dans une chaîne de production sous vide sans interruption (batteries à couches minces, piles à combustible, petits écrans plats, etc.). Le modèle UNO dispose de 13 cathodes de pulvérisation, peut monter jusqu'à 750°C en température, et permet de traiter jusqu'à 300 substrats (verre ou acier) en une seule charge. L'équipement est proposé à partir de moins d'1 million de dollars, selon configuration. L'outil de production de Midsummer est le modèle DUO, un système compact, livré clé en mains, pour une fabrication annuelle de 5 MW.

L'équipementier allemand Schmid a amélioré de 20 à 21% le rendement de conversion atteignable avec sa ligne de fabrication de cellules solaires en technologie PERC, ce qui permet d'assembler un panneau PV de 300 W avec 60 cellules. Les travaux ont porté sur une architecture de cellules avec des conducteurs d'interconnexion multiples (busbars) et une face arrière passivée et sans métallisation argent.

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PV organique : l'institut Fraunhofer ISE expose un panneau souple de 90 cm2

Autretechno>Panneaux >Cellules >Allemagne>Europe>R&D
27-05-2014 15:56:06 :

L'institut Fraunhofer ISE de Freiburg (Allemagne) expose cette semaine, à l'occasion de la manifestation LOPEC se déroulant du 26 au 28 mai à Munich, un panneau photovoltaïque organique souple d'une surface de 90 cm2, réalisé selon un procédé entièrement automatisé « roll-to-roll ». Le procédé ne nécessite pas de couche ITO (indium-étain-oxyde) et est donc plus économique. Parallèlement, un panneau de 6 mètres sur 50 cm a été dévoilé, issu du projet collaboratif européen FabriGen, impliquant six partenaires …


Les chercheurs développent le procédé « roll-to-roll » en vue de fabriquer des panneaux PV organiques sur des substrats souples de grande taille à moindre coût. Toutes les couches, hormis la métallisation des électrodes, sont réalisées avec un seul et même équipement. Les conducteurs pour les contacts en face avant sont, eux, réalisés par sérigraphie, en coopération avec l'industriel Thieme. « Des tests d'ensoleillement artificiel de longue durée ont permis d'établir la stabilité des panneaux dans le temps, avec une durée de vie simulée de 8 ans au moins », souligne Uli Würfel, directeur de la division cellules solaires organiques et à pigments photosensibles du Fraunhofer ISE. Les test en environnement humide eet à haute température (1000 heures à 85°C et 85% d'humidité relative) ont entraîné à moins de 5% de perte de puissance.

Le projet de R&D FabriGen vise, lui, à développer des membranes photovoltaïques sur substrat souple (tissu, polymère, plastique, etc) pour des applications dans l'automobile ou l'architecture, et en particulier pour des applications d'ombrières. Le panneau PV de 6 m de long est une preuve de la faisabilité du procédé roll-to-roll. Il résulte de la coopération entre l'Institut Fraunhofer ISE, le Centre for Process Innovation, ou CPI (Grande-Bretagne), où a été réalisé l'encapsulage, Inside2Outside, ou I2O (Grande-Bretagne), coordinateur du projet et responsable de l'intégration du PV organique sur une membrane (avec le CPI), et l'équipementier Coatema Coating Machinery (Allemagne) qui travaille au développement du procédé de laminage à grande échelle. Le Britannique DZP Technologies (électronique imprimée), la société tchèque Elon Technologies (feuilles électroluminescentes) ainsi que l'université bulgare University of Chemical Technology and Metallurgy complètent le consortium.

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Deux projets solaires du pôle de compétitivité Tenerrdis obtiennent un financement public

Autretechno>Panneaux >Cellules >Solairethermique>France>Subventions>Industrialisation>R&D
20-05-2014 17:31:54 :

Tenerrdis, pôle de compétitivité dédié aux nouvelles technologies de l'énergie, vient de voir deux projets dans le solaire sélectionnés par le FUI (Fonds Unique Interministériel) dans le cadre du 17e appel à projets : Dualplas est dédié au développement d'un module solaire hybride bas coût et Printexpert vise la mise au point d'un équipement d'impression de cellules solaires

Peu de détails ont été dévoilés concernant ces deux projets, notamment au niveau des budgets et des partenaires de R&D.

Porté par la société Solaire 2G qui commercialise déjà des panneaux solaires hybrides (photovoltaïque et thermique), le projet Dualplas vise à concevoir et réaliser des prototypes d'échangeurs thermiques pour modules photovoltaïques en divisant les coûts actuels par 4, ce qui nécessite un changement radical de matériaux et de procédé. Avec un prix compétitif, un tel capteur solaire hybride offrira une opportunité supplémentaire de soutien à l'autoconsommation, notamment dans les bâtiments (logements collectifs et maisons individuelles) ayant besoin localement d'eau chaude sanitaire. D'un montant total de 2 millions d'euros, le projet sera cofinancé par la Région Languedoc-Roussillon, qui soutient la participation de l'entreprise Tecsol (66). Le projet est co-labellisé par les pôles de compétitivité Capénergies et Derbi.

Le projet Printexpert a pour objectif le développement d'un nouvel équipement de dépôt des contacts en surface des cellules solaires à haut rendement (jusqu'à 22%) pour un prix de revient inférieur de 30% à celui des équipements actuellement disponibles. Le consortium réuni autour de ce projet porté par Machines Dubuit, un acteur reconnu de l'impression par procédé sérigraphique des conducteurs sur les tranches de silicium, comprend notamment une PME grenobloise qui apporte son savoir-faire en vision industrielle sur l'intégralité d'une ligne de sérigraphie de cellules. Le marché visé est mondial, avec la fourniture de lignes de fabrication de cellules photovoltaïques à l'export.

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OPV : un projet européen de R&D pour un rendement de conversion supérieur à 15%

Autretechno>Cellules >France>Europe>R&D
13-05-2014 08:09:22 :

Le centre de R&D néerlandais TNO coordonne un projet européen appelé Mujulima, qui vise à développer des cellules solaires photovoltaïques de faible coût permettant d'obtenir un rendement de conversion supérieur à 15% et une durée de vie de plus de 10 ans au niveau module grâce à l'utilisation de matériaux organiques (OPV) de hautes performances et une meilleure gestion de la lumière. Il regroupe dix partenaires, dont le Français DisaSolar

Le projet a démarré début 2014 pour une durée de trois ans, soit jusqu'à fin 2016. Les partenaires se sont fixés trois objectifs : mettre au point des matériaux intercalaires et photoactifs pour réaliser des cellules OPV à jonctions multiples ; optimiser la formation de nanostructures afin d'exploiter au maximum la lumière disponible ; améliorer la performance avec de nouvelles méthodes d'encapsulation/assemblage et faire correspondre les protocoles de test en laboratoire avec les résultats (durée de vie) obtenus en conditions réelles d'utilisation. Le projet Mujulima porte aussi sur les procédés de fabrication, en particulier sur les techniques d'impression. Enfin, il vise trois types de produits pour trois secteurs d'applications : l'OPV de petite taille pour l'alimentation d'appareils « smart home » ; l'OPV de taille moyenne pour l'intégré au bâti urbain ; et des toitures solaires flexibles pour des bus commerciaux.

Les caractéristiques de l'OPV (faible poids, choix des couleurs, du substrat et du design, compatibilité avec des procédés de fabrication à haut rendement) sont très prometteuses et devraient à des solutions solaires esthétiquement attrayantes et économiquement viables, directement intégrables dans des composants/matériaux utilisés dans la construction ou l'automobile.

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Semprius dévoile un rendement de conversion de 43,9% pour une cellule solaire à quadruple jonction

Autretechno>Cellules >Etats Unis>Technologies>R&D
02-05-2014 18:47:59 :

L'Américain Semprius, spécialisé dans les panneaux photovoltaïques à haute concentration (HCPV), vient de dévoiler une cellule solaire à quadruple jonction réalisée avec sa technologie d'impression dite à micro-transfert avec un rendement de conversion de 43,9%. La société vise maintenant à atteindre un rendement de 50% « dans un proche avenir ». La société française Soitec, qui avait publié un rendement record de 44,7% également pour une cellule solaire à quadruple jonction en septembre 2013 (voir notre article), vise ce même objectif …

La cellule solaire de Semprius se compose d'une micro-cellule à triple jonction empilée sur une autre micro-cellule en germanium, afin de capter le plus de lumière possible du spectre solaire. Le procédé d'impression par micro-transfert permettrait, selon Semprius, de réaliser simultanément des milliers d'empilages avec une productivité et une fiabilité élevées. La société a notamment fait appel à un matériau novateur (non détaillé) pour effectuer l'interface entre les deux micro-cellules, matériau qui permettrait de minimiser les pertes optiques et donc d'optimiser le rendement de conversion. La cellule solaire résultante a en outre été dotée de quatre terminaisons, et non de deux comme à l'habitude, afin de réduire la dépendance spectrale et d'améliorer le rendement de conversion dans des conditions réelles d'utilisation.

Les travaux ont été réalisés par Semprius dans le cadre d'un projet de R&D en coopération avec une équipe du laboratoire de recherche sur les matériaux Frederick Seitz de l'université de l'Illinois à Urbana-Champaign (200 km au sud de Chicago), et avec son compatriote et partenaire de longue date Solar Junction, un fabricant de cellules solaires en matériaux III-V. Les résultats du projet ont été publiés dans le magazine Nature Materials. Pour en savoir plus, cliquer ici

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Sunpartner dirige un projet de R&D visant la mise au point d'un textile photovoltaïque

Autretechno>France>R&D
02-05-2014 18:38:38 :

Sunpartner Technologies, jeune pousse d'Aix-en-Provence connue pour ses films photovoltaïques, coordonne les travaux d'un consortium français de chercheurs et d'industriels dans le cadre du projet Soltex visant à développer un fil textile photovoltaïque et à préparer son industrialisation d'ici 2019. Ce fil devrait s’intégrer dans les nappes de fils standards au moment de la fabrication de textiles susceptibles de produire de l'énergie avec environ 10 W/m2 …


Les autres membres du consortium autour de Sunpartner Technologies sont Qualiflow Therm (filiale du groupe SEMCO Engineering), le fabricant de fils et tissus élastiques Payen, le fabricant de textiles techniques Texinov, la marque de vêtements et d'équipements sportifs RaidLight et le CEA-Liten. Ce dernier interviendra principalement dans la phase de développement du fil photovoltaïque en s’appuyant sur son savoir-faire dans le photovoltaïque à couches minces.

Labellisé par le pôle de compétitivité CapEnergies, le projet Soltex bénéficie du soutien de Bpifrance qui finance 45% du coût total de 15,5 M€ sur 5 ans. Il devrait aboutir à de premiers échantillons de textile fonctionnel d'ici 2 ans et à un procédé industriel d’ici 4 ans. La dernière année sera dédiée à la réalisation de produits industriels. Les applications pressenties à ce jour incluent des vêtements techniques et des équipements sportifs d’extérieur, des stores et des toiles d’ombrage pour les bâtiments, des bâches de protection, des filets de protection pour serres agricoles, des garnitures intérieures de voiture, de train ou d’avion, etc. La production d'énergie de ce textile photovoltaïque pourrait être d'environ 10 W/m2.

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Sunpartner boucle son sixième tour de table avec 9,8 M€

Autretechno>Cellules >France>Investissements>Stratégie>Industrialisation>R&D
14-04-2014 20:44:12 :

La société aixoise d’ingénierie Sunpartner Technologies, spécialiste des solutions novatrices comme des écrans et vitrages photovoltaïques, vient de lever un total de 9,8 millions d'euros au cours d'un 6e tour de table lancé l'an passé, qui porte la totalité des financements obtenus à 19,9 millions d'euros à ce jour. L’entreprise a pu ainsi se doter des moyens d’intensifier ses investissements dans la R&D pour optimiser ses technologies matures et industrialiser de nouvelles solutions, renforcer sa stratégie en termes de propriété intellectuelle et déployer des offensives commerciales et des partenariats à l'international, le tout en agrandissant ses équipes …

Créée en 2008, la société a déposé 35 demandes de brevets depuis cette date. Elle emploie aujourd'hui une quarantaine de personnes et a réalisé un chiffre d'affaires de 2 millions d'euros en 2012. Son objectif : atteindre un CA de 100 millions d'euros en 2016. Pour en savoir plus concernant les technologies de Sunpartner, cliquer ici

Un montant de 6,7 millions d'euros a été levé après une première tranche de 3,1 millions d'euros à l'automne 2013. L’opération a été réalisée auprès des actionnaires historiques (Davanière Capital, Eurowatt Partenaire, Crédit Agricole et Gravitation), auxquels s'est joint un nouvel entrant, Sigma Gestion, une société de capital investissement du groupe ACG. Initialement, la société visait à obtenir un montant total de 8 M€. Après l'obtention de sa deuxième tranche de financements, la société peut maintenant déployer notamment la production des pré-séries pour les écrans et vitrages photovoltaïques, Wysips Crystal et Wysips Glass, sur sa ligne pilote qui est opérationnelle depuis l'été 2013. Parallèlement, la firme a dévoilé un smartphone équipé de Wysips Connect (une version de Wysips Crystal, compatible Lifi) lors du salon CES à Las Vegas en janvier dernier, et est en train de réaliser des prototypes de smartphones équipés de Wysips Crystal pour trois fabricants de téléphonie cellulaire, dont TCL Communications qui commercialise les modèles Alcatel One Touch. Les premiers smartphones devraient arriver sur le marché au 2e semestre 2014. Au salon Baselworld 2014, dédié aux montres et produits de luxe, la firme a par ailleurs signé un partenariat pour l'intégration de Wysips Crystal dans des modèles de téléphone haut de gamme de TAG Heuer.

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