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AUTRES ENERGIES : 108 article(s).
L'Espagne baisse les aides aux énergies renouvelables

Centralesphotovoltaïques>Solairethermique>Energies renouvelables>Espagne>Politique/Réglementation
06-07-2010 12:22:31 :

Après plusieurs mois de discussion avec les professionnels du secteur, le gouvernement espagnol vient d'annoncer une diminution de 35% des aides aux centrales solaires à concentration, publie La Tribune ; le solaire photovoltaïque, lui, semble épargné pour l’instant…
 
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Cette mesure devrait s'appliquer aussi aux centrales déjà en exploitation. Les heures de fonctionnement donnant droit à des aides seront aussi réduites. Idem pour les subventions aux éoliennes d'ailleurs.

Les fédérations professionnelles parlent déjà de centrales qui seront arrêtées parce qu'elles ne seront plus assez rentables.

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Electricité solaire : le projet Transgreen est lancé

Autretechno>Centralesphotovoltaïques>Solairethermique>Energies renouvelables>France>Europe>Reste du monde>Grands programmes
06-07-2010 12:11:04 :

Treize entreprises et institutions ont signé, lundi 5 juillet, un protocole d'accord pour le lancement de l'initiative industrielle Transgreen qui a pour objet d’étudier la faisabilité d’un réseau de transport de l’électricité entre les rives nord et sud de la Méditerranée et le développement des interconnexions autour du bassin méditerranéen ; le partenariat est établi pour une durée initiale de trois ans…

Transgreen s’inscrit dans le cadre du Plan Solaire Méditerranéen qui prévoit de construire des centrales de production d’électricité renouvelable (éolien, solaire thermodynamique/à concentration, solaire photovoltaïque...) d'une puissance de 20 GW à l’horizon 2020. Environ 5 GW seraient exportés vers l’Europe notamment par des lignes sous-marines à courant continu haute tension (CCHT) afin de contribuer à la rentabilité des centrales.

Il reste à trouver les financements nécessaires à la réalisation de l'ensemble.

Les treize signataires du protocole d'accord sont Abengoa, l’Agence Française de Développement (AFD), Alstom, Areva, Atos Origin, CDC Infrastructure (filiale de la Caisse des Dépôts), EDF, Nexans, Prysmian, RED Eléctrica de España, RTE, Siemens, Taqa Arabia, auxquels pourraient bientôt s'ajouter les groupes Terna et Red Electrica.

Initialement constitué pour trois ans, le partenariat reste ouvert à d’autres entreprises, en particulier celles des pays du Sud, afin de concevoir ensemble les réseaux électriques à mettre en place.

Les travaux menés dans le cadre de Transgreen seront conduits en coordination avec les autres projets du Plan Solaire Méditerranéen, ainsi qu'avec Desertec, une initiative industrielle allemande lancée il y a un an qui entend fournir jusqu’à 15% de la consommation d’électricité de l’Europe d’ici à 2050 à partir de centrales solaires et d'éoliennes installées en Afrique du Nord et au Moyen-Orient.

A noter que deux entreprises, Abengoa et Siemens, participent aux deux grandes initiatives Transgreen et Desertec.

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Solar Decathlon Europe : les Français 4e et 7e sur 17 équipes

Centralesphotovoltaïques>Energies renouvelables>France>Europe>Technologies>R&D
06-07-2010 12:05:09 :

Le concours Solar Decathlon Europe s'est terminé fin juin à Madrid sur la victoire de la maison Lumenhaus, présentée par l'université de Virginie et son institut polytechnique et considérée comme la maison avec la meilleure efficacité énergétique des 17 équipes participantes ; les maisons françaises, l'Armadillo Box de l'Ensag et Nápévomó de Arts et Métiers Paris Tech, se classent respectivement 4e et 7e de la première édition européenne de ce concours…

Les universités allemandes de Rosenheim et de Stuttgart complètent le trio de tête.

Ce qu'il faut retenir : les équipes françaises se sont retrouvées sur le podium à dix reprises pour les différents critères d'évaluation (jusqu'à 80 ou 120 points au maximum).

L'Armadillo Box a ainsi été classée 2e en architecture, 3e en ingénierie, en bilan énergétique, en confort et en innovation, tandis que Nápévomó a été 1er en durabilité, 2e en ingénierie, en confort, en innovation et en installation solaire.

Voir aussi notre article

Pour tous les détails sur le concours Solar Decathlon Europe, voir le site Solar Decathlon Europe

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CETH propose un électrolyseur pour le stockage des énergies renouvelables

Autres composants>Energies renouvelables>France>Industrialisation>R&D
29-06-2010 15:24:26 :

A l'occasion du salon des énergies renouvelables qui s'est tenu du 16 au 18 juin dernier à Paris, la Compagnie Européenne des Technologies de l'Hydrogène (CETH), société spécialisée dans la conception et la fabrication de systèmes de production et de purification de l’hydrogène, a présenté le premier électrolyseur conçu pour fonctionner avec une alimentation intermittente et de ce fait parfaitement adapté au stockage des énergies renouvelables

Cet électrolyseur de type PEM (Proton Exchange Membrane) multistacks à régulation de charge produit de l’hydrogène pur à plus de 99,5% de manière continue et en quantité industrielle. La technologie propriétaire de CETH repose sur l’intégration de plusieurs empilages de cellules à membrane polymère solide, un procédé qui facilite la gestion des délestages internes sans interrompre le fonctionnement du générateur.

La société CETH finalise actuellement l’assemblage final du premier pilote industriel d’une capacité de production de 8 Nm³ d’hydrogène par heure. En mode sans régulation de charge, ce pilote industriel est également dimensionné pour une production opérationnelle d’hydrogène de 12 Nm³ /h.

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Siemens rejoint le projet Transgreen

Centralesphotovoltaïques>Solairethermique>Energies renouvelables>France>Reste du monde>Grands programmes
26-05-2010 14:51:18 :

Siemens a dévoilé son intention de rejoindre le projet Transgreen, un vaste projet qui devrait être mené par un consortium du même nom sous l'égide d'EDF dans le cadre du Plan solaire méditerranéen et qui vient d'être présenté officiellement lors de la réunion des ministres de l'énergie de l'Union pour la Méditerranée au Caire …

L'objectif de Transgreen consiste à mettre en place une production de quelque 20 GW d'énergies renouvelables (solaire et éolien) dans des pays du pourtour de la « grande bleue » ainsi qu'un réseau de liaisons électriques traversant la Méditerranée afin d'acheminer de l'électricité solaire produite vers la France et, peut-être, vers l'Europe. Le projet, comme Desertec par ailleurs, n'en est qu'à ses débuts.

Siemens serait ainsi le premier industriel à participer aux deux grands projets de ce type, Desertec et Transgreen.

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Solaire photovoltaïque: un marché de 116,5 milliards de dollars en 2019, selon Clean Edge

Centralesphotovoltaïques>Energies renouvelables>Etudes de marché
03-05-2010 18:21:23 :

Selon une étude de Clean Edge, le secteur du photovoltaïque génèrerait des revenus de 116,5 milliards de dollars en 2019, soit plus du tiers d'un marché total « énergies propres » estimé à 343,4 milliards de dollars d'ici là ; le marché mondial du PV aurait représenté un peu plus de 7 GW en terme de puissance installée et 36,1 milliards de dollars en terme de revenus l'an passé …

L'annonce de 1,34 GW de nouvelles installations PV pour le seul mois de décembre 2009 en Allemagne a entraîné Clean Edge à revoir à la hausse son étude de marché Clean Energy Trends 2010 initialement publiée en mars dernier.

Rappelons que les statistiques allemandes font état d'un total de 3,8 GW de nouvelles installations photovoltaïques raccordées courant 2009.

Clean Edge estime que le marché mondial des énergies propres a atteint 144,5 milliards de dollars.

L'étude est téléchargeable sur le site de Clean Edge

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Coopération France – Etats-Unis dans la R&D pour le solaire

Centralesphotovoltaïques>Solairethermique>Energies renouvelables>France>Etats Unis>Accords>R&D
21-04-2010 15:12:33 :

Le pôle de compétitivité Tenerrdis de la région Rhône-Alpes vient de signer un protocole d’accord avec le NREL (centre de recherche national en énergie renouvelables des Etats-Unis), qui porte sur le solaire photovoltaïque et thermodynamique (solaire à concentration, ou CSP) et les réseaux intelligents de gestion de l’énergie ; l’Ines et l'INP de Grenoble sont plus particulièrement impliqués …

D’une durée de deux ans renouvelables, cet accord pourra être étendu à moyen terme à d’autres thématiques innovantes.

« Une coopération au niveau international en R&D apporte de la valeur ajoutée et crée un effet de levier considérable pour l’amélioration des performances technologiques et la réduction des coûts. Avec Tenerrdis, nous avons trouvé un interlocuteur de choix partageant des objectifs communs de développement, déploiement et commercialisation dans le domaine des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique », a souligné Ron Benioff, responsable programme international au NREL.

Cet accord est le fruit de deux ans de travail et d'actions menées par l'AEPI (agence de développement économique du département de l’Isère) au Colorado, état qui avait été identifié comme ayant un écosystème et des méthodes de travail comparables à la Région Rhône-Alpes, notamment en ce qui concerne la synergie entre l'industrie, la recherche et les universités.

Le protocole d'accord a été signé en présence d'une importante délégation comprenant Véronique Péquignat, responsable des actions internationales à l'AEPI, Hervé Fradet, directeur de l'AEPI, David E. Rodgers du ministère de l‘énergie des Etats-Unis, Ron Benioff, responsable programme international du NREL, Daniel Harris, ministre conseiller aux affaires commerciales à l'ambassade des Etats-Unis à Paris, Jean-Pierre Chardon, actuel président de Tenerrdis, Claude Graff, ancien président de Tenerrdis, et Jean-Daniel Tordjman, ambassadeur aux pôles de compétitivité.


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Le CEA se positionne sur les énergies alternatives

Silicium>Couches minces>Autretechno>Cellules >Energies renouvelables>France>R&D
12-04-2010 20:02:49 :

Annoncé en janvier dernier, le changement de dénomination du CEA en Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives vient d'être entériné avec la présentation de la stratégie de l'entité dans ce dernier secteur dirigé par Jean Therme ; actif dans la R&D sur les énergies décarbonées depuis une dizaine d'années, le CEA travaille sur trois composantes majeures : la production d’électricité à partir d’énergie solaire photovoltaïque et thermique à concentration ; la gestion de l’électricité et de son intermittence par du stockage et des systèmes électriques intelligents ; l’utilisation de l’électricité dans le bâtiment et dans les transports ….

Par énergies alternatives, le CEA sous-entend des solutions de remplacement aux combustibles fossiles. Il continue ainsi à mener des recherches pour le soutien au parc électronucléaire actuel et pour le développement des systèmes du futur, tout en poursuivant le démantèlement de ses installations historiques de recherche. Il positionne néanmoins aussi sa recherche sur la production, la gestion et les utilisations d’une énergie électrique décarbonée. Dans ce domaine, le budget du CEA est en croissance annuelle de 30 à 40% depuis plusieurs années. Il devrait atteindre 156 M€ en 2010.

Les questions des nouvelles technologies de l’énergie pour le bâtiment sont notamment abordées en association avec l’Institut national de l’énergie solaire (INES), dont 80% des effectifs sont représentés par le laboratoire CEA-Liten. Les travaux portent sur toutes les facettes de l’énergie solaire, et se fondent sur une stratégie de plates-formes dédiées telles que Restaure (réalisation et caractérisation de cellules solaires) ou Incas (architecture solaire, développement d'habitations à énergie positive et/ou à basse consommation).

Plus globalement, le CEA travaille sur des projets de développement de la production d’électricité photovoltaïque et thermique à concentration, sur des projets de stockage électrochimique et chimique (notamment sous forme d'hydrogène) afin de permettre une meilleure adaptation des besoins énergétiques et de l’offre d'énergie provenant de sources renouvelables, qui est par définition intermittente, ainsi que sur des projets de conception, d'intégration et de gestion de l’énergie solaire dans les bâtiments et les transports, qui inclut aussi le développement de batteries et de piles à combustible pour les véhicules électriques et hybrides.

Pour en savoir plus, veuillez consulter le dossier de presse

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Bâtiment à énergie positive : trois points clés à retenir

Energies renouvelables>France>Stratégie
31-03-2010 11:07:59 :

Organisées par Lagoa Communication, les 3e Rencontres Photovoltaïque ont réuni le 25 mars dernier quelque 150 participants autour d'un vaste débat autour du bâtiment à énergie positive, thème on ne peut plus d'actualité dans le cadre du Grenelle de l'environnement ; plutôt qu'un compte-rendu, le grand nombre de facettes abordées dans les différentes présentations nous conduit à vous proposer les trois points clés qui ont retenu notre attention ….

Rentabilité, ou la preuve qu'il est possible de construire aux normes de 2020 dès aujourd'hui (au moins pour les immeubles de bureaux). « Nous avions trois défis : réduire la consommation, utiliser des sources d'énergies renouvelables sur site, assurer l'éco-exploitation du bâtiment », a déclaré d'entrée de jeu Eric Mazoyer, directeur général délégué de Bouygues Immobilier. « Aujourd'hui, nous avons pris 10 ans d'avance sur les objectifs 2020 du Grenelle de l'environnement sur un marché qui est tiré par les utilisateurs. Nous avons mis au point le concept Green Office pour des immeubles de bureaux avec un modèle économique dans lequel le surcoût de loyer est compensé par la baisse des charges. Le premier bâtiment sera livré début 2011. Nos réussites : 60% d'économies d'énergies, un objectif de moins de 40 kWh/m2/an avec un objectif d'énergie positive grâce à une production de 64 kWh/m2/an, et un surcoût de construction de seulement 18%, en incluant les sources d'énergies renouvelables. »

Esthétique, ou comment allier l'utile à l'agréable. L'intégration au bâti, favorisée par la réglementation des tarifs d'achat de l'électricité photovoltaïque, est une spécificité bien française, avec pour objectif de garantir une certaine esthétique architecturale. Dans ce domaine, les différents concepts – Green Office de Bouygues Immobilier, Bonne Energie de PRD – et projets de constructions (terminés, en cours ou encore à l'étude) présentés dans le cadre de la manifestation - ont montré que, s'il n'y a pas d'innovation sans contraintes, elle encourage aussi la créativité. Quelques exemples détaillés par Pierre Mazoyer, directeur général délégué de Bouygues Immobilier, et par Eric Gagnière, directeur général de PRD : Centre commercial Porte Sud à Orange, la première centrale photovoltaïque intégrée sur bâti privé en Europe, Green Office à Meudon (consommation de 39 kWh/m2/an), Moulin Noir à Nanterre, Zac Claude Bernard de Paris 19e, un entrepôt logistique à Marly la Ville, 1er immeuble Bonne Energie sur la Zac de Bonne (ancienne caserne militaire au centre de Grenoble) ...

Applications, ou apprendre à exploiter toutes les fonctions du photovoltaïque dans le bâti. Dans son exposé, Jean-Pierre Joly, directeur général de l'Ines, est allé au-delà de l'intégration « harmonieuse » du photovoltaïque dans le bâtiment (et la ville). Dans le contexte de l’énergétique bâtiment du futur, il importe en effet, au-delà de la fonction esthétique, de prendre aussi en compte et d'exploiter les autres fonctions et usages possibles du photovoltaïque dans le bâti, comme la ventilation du PV, la valorisation de l’énergie thermique résiduelle, la protection aux intempéries, au bruit et au soleil, l’usage localisé de l’énergie photovoltaïque pour l'auto-consommation (bâtiment, recharge des véhicules, ...).

Enfin, en synthèse, l'opinion d'un participant qui résume le sentiment global de la manifestation, qui a positivement interpellé nombre de personnes : « dans nombre de conférences, le thème du photovoltaïque est souvent présenté par les équipementiers, les fabricants ou les exploitants des centrales ; ici, nous avons plutôt entendu, et écouté, des professionnels du bâtiment nous parler des défis - architecturaux, techniques, économiques, etc – que représente l'intégration du photovoltaïque dans leurs projets afin de répondre à des attentes, des besoins, des logiques, voire à toute une culture assez différente de celle dont nous avons l'habitude dans l'industrie ; cela a ouvert de nouvelles perspectives. »


Immeuble Bonne Energie à Grenoble

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Troisième édition des Rencontres Photovoltaïque à Paris le 25 mars 2010

Centralesphotovoltaïques>Energies renouvelables>France
09-03-2010 18:32:15 :

Les troisièmes Rencontres Photovoltaique se tiendront le 25 mars prochain à Paris, au Pavillon Gabriel, sous le Haut patronage du Président de la République, sur le thème du « bâtiment à énergie positive » ; lors des précédentes éditions, en 2008 et 2009, cette journée a réuni chaque fois plus de 250 personnes ….

Organisées par Lagoa et Iddeo, cette journée a pour vocation d’offrir aux acteurs de la filière une information stratégique et prospective réactualisée. Elle consiste aussi à faire se rencontrer les acteurs de la filière photovoltaïque et ceux du secteur du bâtiment.

Pour sortir de la crise, le gouvernement a décidé de promouvoir un nouveau modèle de croissance, dans lequel les technologies vertes ont un rôle essentiel. Le photovoltaïque est l’un de ces secteurs d’avenir. Avec une croissance de plus de 30% par an, l’industrie photovoltaïque connaît en effet une expansion parmi les plus fortes au monde. Au carrefour de l’énergie et de l’environnement, le photovoltaïque devrait jouer un rôle central dans un nouveau marché : celui du « bâtiment producteur d’électricité décentralisée ».

Rappelons que le Plan bâtiment du Grenelle de l’environnement prévoit que tous les bâtiments neufs devront être à énergie positive à l'horizon 2020.

Programme de la journée et inscription en ligne

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Le solaire, photovoltaïque et thermique, a la faveur des Français

Centralesphotovoltaïques>Energies renouvelables>France
23-02-2010 14:50:17 :

69% des Français citent spontanément l'électricité solaire photovoltaïque en tête des sources d'énergie pour l'avenir, devant le thermique pour chauffer l'eau (62%), l'éolien (54%) ou encore le bois et la biomasse (32%), selon un sondage réalisé par OpinionWay à la demande de Solairedirect ; le baromètre 2009 de l'Ademe indique, lui, que 97% des Français se déclarent favorables au développement des énergies renouvelables, 68% donnant la priorité à l'énergie solaire et 43% à l'éolien ….

Malgré des variations régionales dues, selon les sondeurs, au contexte sociétal, à la présence plus ou moins forte d'acteurs régionaux, à une disparité au niveau des subventions, ou encore aux débats publics organisés (ou non), l'énergie solaire est plébiscitée quasiment sur toute la ligne. D'ailleurs, il résulte aussi de l'enquête d'OpinionWay que 45% des Français attendent plus d'informations sur l'électricité photovoltaïque au niveau régional, moins d'1 Français sur 3 pense que les élus locaux (conseil régional, maire) font des efforts pour développer cette énergie et 57% estiment qu'ils devraient en faire plus.

La flambée du prix du pétrole et le Grenelle de l'environnement n'expliquent qu'en partie l'évolution favorable de l'opinion. Pour OpinionWay, les Français ont pris conscience des enjeux et intériorisé individuellement la nécessité de trouver des solutions avec les énergies renouvelables . Ainsi, 90% des Français sont favorables à l'installation de panneaux photovoltaïques sur la toiture de leur maison ou de leur immeuble, et ils sont 84% à être favorables à la construction d'un parc solaire dans leur commune.

Selon l'Ademe, l'énergie solaire bénéficie de la meilleure image. Elle est perçue comme la plus respectueuse de l’environnement, la plus économique à produire, la moins polluante, la moins dangereuse, la plus moderne et celle permettant de lutter le plus efficacement contre l’effet de serre. Son degré d'acceptabilité est de ce fait particulièrement élevé, que ce soit pour les bâtiments publics (96% de répondants favorables), sur le toit d’un voisin (88% de répondants favorables) ou sur son propre toit (97% des répondants favorables).

L'enquête d'OpinionWay a été réalisée auprès d'un échantillon représentatif de chaque région française, avec un total de 2492 personnes.

Question :
Selon vous, la production d'électricité solaire est-elle une solution d'avenir ... ?

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Journée technique en Bretagne : les industriels du photovoltaïque attendent les TIC

Centralesphotovoltaïques>Conversion >Autres composants>Energies renouvelables>France
16-02-2010 23:45:19 :

Consensus à la journée technique organisée le 11 février dernier à Lannion par la Meito sur la question « solaire et éolien, quelles opportunités pour la filière TIC ? » : « il y a d'importants besoins en logiciels de conception (CAO), de modélisation et d'ingénierie, en systèmes de traçabilité (RFID), en logiciels de dimensionnement des panneaux et systèmes solaires et de calcul des masques d'ombrage, en outils d'analyse des éléments météo, en systèmes de gestion des services de maintenance et d'après-vente, en logiciels de gestion de centrales PV, etc… » ont répondu les professionnels ….

Quelque 140 personnes venues du Grand-Ouest ont assisté aux présentations de la journée, et saisi l'occasion d'échanges lors des pauses dans le cadre d'une petite exposition.

Après un panorama économique et technologique des énergies renouvelables et solaires en France, dressé par Jean-Pierre Joly, directeur général de l'Ines, et l'analyse de la gestion locale d'un réseau électrique en tenant compte de l'apport des énergies renouvelables, effectuée par Dominique Famy, responsable de ERDF Ouest, des sociétés de l'Ouest actives dans le photovoltaïque et l'éolien, incluant ArmorGreen, Meteodyn, Metesostrategy, Harmer & Simmons, Tecknisolar, Sillia Energie, Facilasol et Quenea Enregies et la jeune pousse Kereneo, ont exposé leurs activités et compétences, et précisé leurs attentes face aux technologies de l'information et des communications.

Nous reviendrons sur ces sociétés dans de futurs numéros de L'Echo du solaire.

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La France ne tire que 0,05% de sa consommation d'électricité du solaire !

Centralesphotovoltaïques>Energies renouvelables>France>Réglementation
27-01-2010 09:55:46 :

A l'occasion de son colloque annuel tenu le 19 janvier dernier, le SER a publié un bilan des énergies renouvelables en France à fin 2009 qui montre que la croissance est désormais amorcée, notamment dans le photovoltaïque : mais, malgré une puissance installée de 230 MW à fin 2009 (contre quasiment 0 MW en 2005), la France ne tire du solaire que 0,05% de l'électricité qu'elle consomme, et aura du mal à rattraper son retard historique dans ce domaine, alors que 12,5% de l'énergie totale consommée en France l'an passé était d'origine renouvelable ; depuis 2006, la filière PV française aurait néanmoins créé plus de 7000 emplois, selon le SER, avec un tissu industriel de quelque 150 acteurs ….

La récente publication de l'arrêté sur les nouveaux tarifs d'achat de l'électricité d'origine photovoltaïque a évidemment été au centre des débats lors du colloque, avec des réactions toujours mitigées, mais globalement consensuelles.

Selon André Antolini, président du SER, « la loi est compliquée, et les discussions ont pris du temps mais le gouvernement visait à éviter une situation explosive comme ce fut le cas en Espagne en 2008. Le fort afflux de demandes qu'il a fallu constater vers la fin de l'année était inattendu, et risquait de mettre en péril la pérennité de l'aide. Le nouvel arrêté préserve l'essentiel mais demandera de douloureuses adaptations aux industriels. La baisse des tarifs d'achat est néanmoins en phase avec la diminution des coûts de fabrication des cellules solaires et de l'assemblage des panneaux PV, surtout dans le contexte actuel de surcapacités de production. »

Selon Arnaud Mine, président du Soler, branche solaire du SER, « les nouveaux tarifs d'achat sont encore suffisamment élevés pour soutenir le développement de la filière industrielle en France, mais il est fort regrettable que les bâtiments neufs (NDLR : de moins de deux ans) soient désormais exclus du dispositif car cela remet plus particulièrement en cause le mouvement de fond amorcé du côté des architectes avec de nouveaux concepts de bâtiments basse consommation ou à énergie positive. »

Pour autant, la période transitoire du 1er novembre 2009 au 11 janvier 2010, période du risque de bulle spéculative (il est question d'une puissance cumulée de l'ordre de 4 GW), reste un point d'achoppement. Les projets, pour lesquels une demande d'achat de l'électricité a été déposée pendant cette période sans qu'il y ait eu de demande complète de raccordement au réseau public, devraient en effet faire l'objet d'une nouvelle demande d'achat de l'électricité aux conditions tarifaires fixées par l'arrêté du 12 janvier 2010. « Nous tenterons de plaider en faveur d'une étude au cas par cas des demandes déposées, afin que les sites répondant aux conditions de l'arrêté précédent, pour lesquels les autorisations d'urbanisme avaient été accordées, soient retenus », avance Arnaud Mine.

Dédié à l'ensemble des énergies renouvelables, le colloque du SER a aussi permis de tirer un bilan plus global : ainsi, fin 2009, 12,5% de la consommation totale d'énergie en France provenait des énergies renouvelables. Voir le Bilan 2009 du SER

A noter que le nombre de logements équipés en solaire thermique a presque doublé entre fin 2005 et fin 2009, à 540 000 logements, auxquels s'ajoutent 500 000 logements équipés de pompe à chaleur (trois fois plus qu'en 2005). Fin 2009, la part des énergies renouvelables dans la consommation chaleur était ainsi de 1,1%. L'objectif du Grenelle de l'environnement consiste à équiper 6 millions de logements de systèmes thermiques tous types confondus (solaire thermique, pompe à chaleur et géothermie) d'ici 2020.

La bonne nouvelle du colloque aura été que, en 2009, quasiment tous les secteurs des énergies renouvelables, mais en particulier le solaire et l'éolien, ont bien résisté à la crise. « Les industriels ont continué à se développer et à créer des emplois, parce que nous sommes encore au début du processus. Les chiffres de l'emploi sont donc largement positifs aujourd'hui, mais on ne saurait augurer de leur pérennité », a néanmoins averti André Santolini. « La compétitivité mondiale n'est toutefois pas nécessairement un problème, ces secteurs pouvant rester porteurs grâce à l'innovation technologique, à l'image de la filière bois, et créer de nouveaux métiers. »

Une étude détaillée de l'Ademe, réalisée courant 2009, évalue par ailleurs la situation actuelle des marchés et des emplois dans les énergies renouvelables au regard des objectifs du Grenelle de l'environnement.

L'étude est disponible sur le site de l'Ademe : Etude 2009 de l'Ademe

En France, la consommation finale d’énergies renouvelables a progressé de 4 Mtep en 4 ans, soit en moyenne 1 Mtep de plus par an. Selon le SER, le développement des énergies renouvelables est amorcé mais le rythme de croissance (en rouge) doit s'accélérer pour atteindre les objectifs du Grenelle de l’environnement (23% d’énergies renouvelables dans la consommation finale d’énergie).

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Solaire et éolien : quelles opportunités pour la filière TIC ?

Autres composants>Energies renouvelables>France
27-01-2010 09:33:32 :

Le 11 février prochain, la Meito organise à Lannion, en partenariat avec Cap'Tronic et la Technopole ANTICIPA, une journée technique portant sur les opportunités que des énergies renouvelables comme le solaire et l'éolien sont susceptibles de représenter pour la filière des technologies de l'information et des communications (TIC) : cette journée réunira des spécialistes français des énergies renouvelables (CEA, Institut National de l'Energie Solaire, ERDF) et des PME innovantes de l'Ouest ; elle se complète d'un espace exposition et s'adresse à la fois aux entreprises de la filière TIC et aux PME des filières industrielles du solaire, de l'éolien, du bâtiment….

L'Echo du solaire sera présent lors de cette journée, qui se déroulera au Lycée Dantec de Lannion.

Pour tous renseignements : Energies renouvelables : de nouvelles opportunités pour les TIC

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Le plan de relance américain fait la part belle aux énergies renouvelables

Silicium>Couches minces>Autretechno>Conversion >Energies renouvelables>Etats Unis>Subventions
19-01-2010 05:08:18 :

Ce n'est guère une surprise : le plan de relance américain visant la production d'énergies propres fait la part belle notamment au solaire et à l'éolien, ces deux filières représentant près de la moitié des 183 projets de sociétés sélectionnés par le gouvernement, qui vont bénéficier de crédits d'impôts ; sur la liste publiée par le ministère américain de l'énergie, 47 projets de sociétés actives dans le solaire et 35 firmes présentes dans l'éolien ont ainsi obtenu des crédits d'impôts cumulés d'environ 1,2 milliard de dollars, dont près d'un milliard pour le seul solaire ….

Les bénéficiaires de la filière solaire couvrent toutes les technologies (thermique, photovoltaïque, concentration, couches minces, ...) et tous les domaines, depuis les matériaux (silicium, verre, miroirs paraboliques, silane, films polymères, ...) jusqu'aux collecteurs thermiques, cellules solaires, panneaux PV, onduleurs et autres accessoires. Le crédit d'impôt représente 30% du coût d'investissement des projets. Ces derniers doivent être réalisés d'ici 2014 au plus tard, mais près du tiers d'entre eux devrait être concrétisé dès cette année.

Quelques exemples : 155 M$ pour REC Silicon (silicium) ; 142 M$ pour Hemlock Semiconductor (silicium) ; 128 M$ pour Wacker Polysilicon (silicium) ; 100 M$ pour MiaSole (panneaux couches minces CIGS) ; 82 M$ pour SolarWorld (panneaux PV) ; 80 M$ pour DuPont de Nemours (matériaux) ; 50 M$ pour CaliSolar (silicium) ; 43 M$ pour Nanosolar (cellules solaires par impression) ; 34 M$ pour Xunlight (panneaux PV flexibles) ; 33 M$ pour Schott Solar (panneaux PV) ; 27 M$ pour Dow Corning (silane) ; 20 M$ pour Dow Chemical (cellules solaires et films de protection) ; 16,3 M$ pour First Solar (panneaux couches minces CdTe) ; 11,6 M$ pour BP Solar (panneaux PV) ; 12,6 M$ pour Abound Solar (panneaux PV couches minces en CdTe) ; 10 M$ pour Rioglass Solar (miroirs) ; 8 M$ pour Saint Gobain Solar Glass (miroirs pour systèmes CSP) ; 5,7 M$ pour Suniva (cellules solaires en silicium) ; 4,7 M$ pour Centrosolar Oregon (panneaux PV en silicium cristallin) ; 4,5 M$ pour Yingli Green Energy (panneaux PV) ; 2 M$ pour Suntech (panneaux PV) ; 1,2 M$ pour Advanced Energy (onduleurs).

Parmi les bénéficiaires figurent aussi bien des sociétés américaines que des sociétés étrangères (mais évidemment avec des projets sur le sol américain), des grandes entreprises comme des PME et des jeunes pousses. Les demandeurs devaient répondre à un nombre de critères comme la visibilité commerciale, la création d'emplois sur le sol américain, l'innovation technologique ou encore le potentiel écologique de leurs produits et projets d'industrialisation.

L'appel d'offres avait suscité plus de 500 demandes cumulant plus de 8 milliards de dollars de crédits d'impôts. Le gouvernement avait toutefois plafonné à 2,3 milliards de dollars le montant total des crédits à octroyer.

Pour plus de détails, veuillez cliquer ici et aussi ici.

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Jean Therme nommé directeur délégué aux énergies renouvelables du CEA

Silicium>Couches minces>Autretechno>Energies renouvelables>Nominations>R&D
19-01-2010 05:03:18 :

Parallèlement au changement de dénomination du CEA, qui est désormais le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives, Bernard Bigot, administrateur général du CEA, vient de nommer Jean Therme directeur délégué aux énergies renouvelables ; il aura pour mission d'accompagner ou de représenter l'administrateur général du CEA auprès des autorités gouvernementales, des partenaires académiques et industriels pour tout sujet ayant trait aux nouvelles technologies pour l'énergie ….

La création de cette fonction marque la volonté d'une implication encore plus forte de l'organisme de recherche en faveur du développement des énergies décarbonnées, ceci alors que le CEA mène depuis près de dix ans déjà une R&D active dans les domaines du solaire, du stockage de l'énergie pour les véhicules électriques, des piles à combustibles, des biocarburants de deuxième génération et de la production d'hydrogène.

Entré au CEA en 1990, Jean Therme était devenu directeur du CEA-Léti en 1999, puis directeur du centre de Grenoble en 2000, poste qu'il cumule depuis 2003 avec celui de directeur de la recherche technologique du CEA. Il joue ainsi depuis plusieurs années un rôle moteur dans la montée en puissance des recherches sur les nouvelles technologies de l'énergie. Après avoir créé le Liten (Laboratoire d'innovation pour les technologies des énergies nouvelles et les nanomatériaux) en 2005, il a été le principal instigateur de l'Institut national de l'énergie solaire (Ines) et s'est fortement impliqué dans la création de la filière française de batteries avec l'Alliance Renault-Nissan.

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Le coût de l'électricité solaire a chuté de 50% en un an

Centralesphotovoltaïques>Energies renouvelables>Conjoncture
02-12-2009 00:26:46 :

Selon une étude trimestrielle de New Energy Finance, le coût de l'énergie solaire, c'est-à-dire le coût par kWh lissé sur la durée de vie d'une installation (20 ans) avant subventions, serait inférieur de 50% à la fin 2009 comparé à fin 2008 ; pour Michel Liebreich, président et CEO de la société d'analyse, le prix des panneaux photovoltaïques, tous types confondus, n'a cessé de baisser tout au long de l'année, malgré un léger ralentissement aujourd'hui, tandis que les panneaux couches minces sont les plus performants en terme de coût, avec des projets à 3$/W ….

Pour les projets réalisés avec des panneaux photovoltaïques couches minces, l'avantage coût serait de 25% comparé à des projets utilisant des systèmes en silicium cristallin. Par contre, le coût des projets PV équipés de systèmes de « tracking » à un ou deux axes, a peu diminué.

Pour les autres énergies renouvelables, le coût au kWh n'aurait baissé que de 10% d'ici à la fin de l'année, comparé à fin 2008. Ainsi, le prix des turbines pour l'éolien aurait, par exemple, diminué de 18 à 20% sur l'année, alors que celui de certains panneaux solaires aurait chuté de plus de 50%.

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RTE accueille l'éolien et le photovoltaïque dans le système électrique français

Centralesphotovoltaïques>Energies renouvelables>France
02-12-2009 00:22:16 :

RTE, société gestionnaire du réseau de transport d'électricité français, vient de mettre en service un système dit IPES, pour insertion de la production éolienne et photovoltaïque, en présence de Jean-Louis Borloo, ministre d'état, de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de la mer : cet outil permet à RTE de disposer des données nécessaires pour faire le point sur la production d'énergie éolienne et de prévoir son comportement futur afin de maintenir l'équilibre entre l'offre et la demande et de gérer les flux électriques sur le réseau ; il est en outre déjà opérationnel pour le « grand photovoltaïque », c'est-à-dire essentiellement les fermes solaires raccordées au réseau de transport ou de distribution ….

L'intégration du photovoltaïque est plus délicate, car il faut tenir compte de plus de paramètres que le seul taux d'ensoleillement (température, inclinaison, vent, etc.), et ceci pour un nombre plus important de sites de production diffusés sur le territoire.

Aboutissement de deux années de travail, le système IPES étend l'observabilité de la production des énergies renouvelables, qui sont par définition intermittentes, et permet de simuler et d'optimiser la prévisibilité à partir de modèles de calcul sur les sites, en coopération avec Météo-France.

En éolien, par exemple, la réactualisation des prévisions environ quatre fois par jour aboutit à un modèle statistique fiable pour calculer un indice de confiance de la prévision de production. Après un an d’utilisation sur la plate-forme ex­périmentale, il a ainsi été possible de constater un écart type prévi­sions / réalisations sur l’ensemble de la France de 3% à l’échéance d’une heure et de 7% à l’échéance de 72h ce qui est, selon RTE, sa­tisfaisant pour la maîtrise de l’équilibre offre-demande. Par contre, l'écart est de 15% à la maille d’un parc éolien avec une disparité impor­tante en fonction de la topographie locale.

Dossier de presse IPES du 30 novembre 2009

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Le SER organise son 11ème colloque annuel le 19 janvier prochain

Energies renouvelables>France>Industrialisation
10-11-2009 14:57:19 :

Le 11ème colloque du SER (Syndicat des énergies renouvelables) va se tenir sur le thème « énergies renouvelables, nouveaux chemins de la croissance » le mardi 19 janvier 2010 au CNIT à Paris-La Défense ; cet événement annuel a rassemblé plus d'un millier de personnes au cours de ses dernières éditions….

Placé sous le haut patronage du Président de la République, cette journée sera consacrée cette année au rôle des énergies renouvelables dans le développement économique de la France. Cette question sera abordée notamment dans le cadre de tables rondes.

Le Syndicat des énergies renouvelables est l’organisation professionnelle qui regroupe les industriels de l’ensemble des filières énergies renouvelables : biomasse, bois, biocarburants (France Biomasse Energie, FBE), énergies marines, éolien (France Energie Eolienne, FEE), géothermie, hydraulique, solaire thermique et photovoltaïque (Groupement Français des professionnels du solaire photovoltaïque, SOLER).

Pour tous renseignements :
SER

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Le Gimelec et le SER s'accordent pour la normalisation dans les énergies renouvelables

Energies renouvelables>France>Réglementation
14-10-2009 02:47:38 :

Le Gimelec (Groupement des industriels de l'équipement électrique, du contrôle-commande et des services associés) et le Syndicat des énergies renouvelables (SER), ont signé un accord de coopération afin de donner aux différentes filières d'électricité renouvelable un socle normatif et réglementaire pour garantir un haut niveau de qualité et de sécurité….

Les deux parties travailleront ensemble sur les sujets techniques traités par les gestionnaires du réseau électrique et les instances de normalisation, en particulier l’Union Technique de l’Electricité (UTE). Premier thème de travail : l’amélioration de la qualité pour la conception, la mise en œuvre et l’exploitation des installations de production d’électricité renouvelable.

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