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POLITIQUES : 543 article(s).
Création du Groupement des métiers du photovoltaïque

France>Politique/Réglementation>Formations
29-06-2010 15:41:59 :

Lors de son congrès annuel à Lille le 25 juin dernier, la Fédération française du Bâtiment (FFB) a annoncé la création du Groupement des métiers du photovoltaïque (GMPV) ; ce syndicat, créé sous le parrainage de Valérie Létard, secrétaire d'état auprès du ministère de l'écologie, sera opérationnel dès septembre 2010…
 
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Ses premières actions consisteront à assurer une meilleure visibilité du savoir-faire des entreprises par la mise en place de qualifications et de certifications adaptées, mais aussi à clarifier les responsabilités des différents acteurs et adapter les assurances correspondantes. Il accompagnera aussi le besoin de compétences des entreprises par la mise en place de formations sur l'ensemble du territoire.

Les membres fondateurs du Groupement sont la Fédération française des entreprises de génie électrique et énergétique, l'Union nationale de la couverture plomberie, la Chambre syndicale française de l'étanchéité, l'Union des métalliers et l'Union des entreprises de génie climatique et énergétique de France.

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Barrières administratives, raccordement, pose : trois freins majeurs à la création d’une filière industrielle française dans le photovoltaïque

Silicium>Couches minces>France>Politique/Réglementation>Subventions/Aides financières
21-06-2010 23:30:02 :

Comment créer une filière industrielle compétitive dans le photovoltaïque en France ? Quels sont les freins à cette implantation ? Quelle est l’importance de la recherche comme facteur de développement de cette filière ? Autant d’interrogations auxquelles les participants à la table-ronde organisée par l’Ademe et le SER, -le syndicat des énergies renouvelables-, ont tenté de répondre en préambule du Salon des Energies Renouvelables qui s’est tenu la semaine dernière à Paris…

En fil rouge de ces tables-rondes : la politique de subvention (tarifs d’achat, incitations fiscales, etc.) dont le poids budgétaire commence à susciter des interrogations. Est-elle productive ou ne constitue-t-elle qu’un effet d’aubaine, capté par la concurrence étrangère (allemande ou chinoise) sans réel effet dynamisant sur le renforcement d’une industrie tricolore et sur la création d’emplois dans cette filière industrielle ? Des industriels (Photowatt, Tenesol, GDF-Suez, First Solar, Saint-Gobain) et des organismes de recherche ont tenté d’apporter des réponses étayées à ces interrogations légitimes.

Le constat tout d’abord, dressé par Waël Elamine, responsable au syndicat SER-Soler, la branche photovoltaïque du SER : la France abrite sur son sol actuellement une capacité de production annuelle de panneaux solaires de 574 MW, soit plus du double de celle de 2009 (266 MW), mais sans commune mesure avec le développement du marché (au premier trimestre 2010, la file d’attente des demandes de raccordement au réseau des installations PV a augmenté de 2 GW pour atteindre 3992 MW dont 3,2 GW en métropole).

Pour justifier la nécessité d’une politique industrielle incitative, les industriels rappellent qu’en 2000, il n’existait encore aucune unité de production de panneaux de très grand volume en Allemagne (NDLR: Solar-Fabrik a toutefois, par exemple, commencé à produire en 1996). Or, rien que cette année, entre 6 et 7 GW de panneaux seront installés outre-Rhin, soit déjà plus que l’objectif du Grenelle de l’environnement de 5,4 G W pour le parc installé français à l’horizon 2020 !

Pour GDF-Suez, les clients, les installateurs, les ensembliers de solutions : tous veulent des sources d’approvisionnement locales, qui garantissent la qualité des installations dans le long terme (une vingtaine d’années). Le groupe voit toutefois trois freins au développement d’une filière PV en France : un objectif 2020 du Grenelle de l’environnement trop modeste (5400 MW) qui sera largement atteint même sans politique tarifaire incitative, la crainte d’une concurrence chinoise faussée en terme de coût d’accès au capital et de coût de fabrication lié au coût de main-d’œuvre, et enfin la crainte de rigidités bureaucratiques dissuasives en matière d’autorisations, de délais de raccordement et d’accès aux subventions.

First Solar, qui va construire une usine de panneaux couches minces dans le Sud-Ouest, met en avant la nécessité de déposer des brevets sur des technologies originales pour tenir à distance la concurrence asiatique. Même approche chez Tenesol, qui estime qu’il faut sortir de la commodité (des panneaux standards en silicium cristallin de 60 cellules) et déposer des brevets, tout en mettant en avant la nécessité de la massification de la production pour faire face à la concurrence (les leaders mondiaux atteignent désormais des capacités de production annuelle de l’ordre du GW). Photowatt, qui disposera d’une capacité de production de 100 MW à la fin de l’année, croit, quant à lui, que le salut de la compétitivité viendra de l’intégration verticale (de la tranche de silicium jusqu’au panneau en passant par la fabrication de la cellule). L’industriel rappelle que la part de la main d’œuvre dans le prix de revient d’un panneau dans cette approche intégrée est inférieur à 20% (entre 15% et 20%). Ce n’est donc pas tant le coût de la main-d’œuvre qu’un accès facilité au financement qui fait la différence avec les producteurs chinois. Car, à l’instar de Saint-Gobain, tous reconnaissent que l’industrie du PV est très capitalistique. Saint-Gobain a notamment indiqué avoir renoncé pour l’instant à construire une usine de tuiles solaires en France, en raison de la nouvelle politique tarifaire pour l’intégration au bâti, défavorable aux projets de plus de 250 kW.

Même s’ils admettent qu’une baisse graduelle et concertée des tarifs d’achat de l’électricité solaire en France sera bénéfique au renforcement de la filière, tous s’accordent à dire qu’un alignement en France des tarifs d’achat pratiqués en Allemagne serait catastrophique pour la filière. Pour Tenesol, les barrières administratives dans l’Hexagone, les délais de raccordement et un manque de maturité sur le processus de pose constituent les trois principaux freins au marché français. Une étude de l’EPIA est particulièrement édifiante : alors que le coût des démarches administratives dans le coût total d’une installation PV pour les particuliers est de 7% en Allemagne, il serait de 19% en France (et même de 47% pour les grandes installations professionnelles). Pour d’autres intervenants, le prix d’un panneau en sortie d’usine est d’environ 1,5 euro du watt. Installé sur le toit, en Allemagne, on arrive à 4 euros du watt (en tenant compte de la solution complète incluant l’onduleur, la connectique, l’étude, la pose, etc.). En France, le prix du watt sur le toit est plutôt encore de 6 à 7 euros.

La seconde table-ronde a mis l’accent sur l’importance de la R&D et des ruptures technologiques pour créer une filière pérenne en France. Pour autant, une étude sur les 22 000 familles de brevets PV menées par FIST, filiale de valorisation du CNRS, montre qu’il n’y pas toujours adéquation entre rang mondial en matière de dépôts de brevets et rang mondial en matière industrielle. Ainsi, le Japonais Canon est-il le champion mondial en matière de dépôt de brevets dans les couches minces, mais est peu présent industriellement. A contrario, Q-Cells est un des leaders mondiaux du photovoltaïque, mais dépose peu de brevets. Les Japonais Sharp et Kyocera, de leur côté, sont présents sur les deux tableaux.

L’Irdep, un laboratoire plutôt axé sur les couches minces, estime qu’il faut être capable de se projeter en 2030 pour orienter les recherches actuelles sur le photovoltaïque : quelles technologies bas coût seront utilisées, pour quelles nouvelles fonctionnalités (texture, poids, support, couleur, etc.), pour quelle recyclabilité, etc ? Tous s’accordent sur la nécessité de miser sur des technologies de rupture, seule façon pour une industrie française en devenir de combler son retard sur l’échiquier mondial. Car rien n’est encore joué. Dans les couches minces, des baisses de coûts considérables sont encore à venir, notamment en matière de machines de production, peu adaptées aux grands volumes et très onéreuses. Pour passer du laboratoire à une ligne pilote dans la filière silicium, il faut mettre aujourd’hui 50 M€ sur la table, selon PV Alliance, dont c’est l’ambition, et multiplier encore ensuite l’investissement par dix pour passer à une production de grands volumes.

Invité à clôturer ces tables rondes, Jean-Louis Bal, directeur des énergies renouvelables à l'Ademe, a insisté sur le rôle des ruptures technologiques pour (re)positionner l’industrie française et souhaité que dans le cadre de l’Appel à Manifestation d’Intention qui vient d’être lancé, la France se dote d’un laboratoire d’excellence dans les couches minces à l’instar de l’INES pour la filière silicium. Ce pôle d’excellence pourrait être en Ile-de-France. Par ailleurs, un Appel à Manifestation d’Intérêt cette fois, va être prochainement lancé dans le cadre des investissements du grand emprunt. Jean-Louis Bal invite donc les industriels à y participer massivement. Le responsable de l’Ademe a également indiqué que le ministère de l’économie et des finances diligentait actuellement une enquête pour évaluer le coût budgétaire et l’impact sur l’emploi de la politique d’aides à l’industrie du photovoltaïque. Des conclusions de l’enquête sortira la marche à suivre pour orienter la politique industrielle de la France dans ce secteur. Mais d’ores et déjà, Jean-Louis Bal indique que « les tarifs d’achat devront baisser en concertation avec les professionnels et en cohérence avec les baisses de prix au niveau mondial, et qu’il faudra également éliminer les surcoûts spécifiques au marché français en matière de procédures administratives et de délais de raccordement ». Un dosage fin dans le pilotage de la politique industrielle qui reste encore à inventer.

Frédéric Fassot

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PV organique : un consortium français investit 20 M€ dans un projet de R&D sur 4 ans

Autretechno>Panneaux >Cellules >France>Grands programmes>Investissements>Industrialisation>R&D
19-06-2010 09:37:01 :

Le groupe Armor, aux côtés de l'Ines, de la société Plasto et du Laboratoire de Chimie des Polymères Organiques (LCPO, de l'université de Bordeaux 1), vient de lancer un programme de R&D de 4 ans, de 2010 à 2014, pour mettre au point une technologie et un procédé de fabrication de cellules solaires organiques. L'investissement de démarrage s'élève à 20 millions d'euros, dont 14 M€ sont apportés par Armor…

Le projet, qui s'appuie sur le savoir-faire de la filiale Industrial Coding & Printing (ICP) du groupe, basée à la Chevrolière, près de Nantes, bénéficie de l'appui d'Oséo ISI (Innovation Stratégique Industrielle) à hauteur de 30%.

Armor, qui industrialisera le procédé développé dès 2015, vise un chiffre d'affaires de 50 à 100 M€ dans ce secteur d'ici 2020.

La caractéristique principale du photovoltaïque organique réside dans la fabrication, avec un procédé par enduction sur des films en rouleaux (« roll-to-roll »), qui permet une production de volume à bas coût. L'utilisation de substrats polymères lui confère en outre légèreté et flexibilité, ce qui autorise le développement d'applications dans l'électronique portable grand public ou l’intégration dans des produits souples pour le bâtiment. Le photovoltaïque organique démarre toutefois à peine, avec des rendements de conversion faibles, de l'ordre de 3 à 5% en laboratoire, et peu d'industrialisations (Konarka, Heliatek). Selon Armor, il existerait de nombreuses pistes en jouant sur leur architecture, les matériaux et les procédés de fabrication.

Rappelons que la société nantaise est un spécialiste des films encrés pour les applications de transfert thermique (code-barres, étiquettes, dates, logos). Précurseur dans le domaine des encres d'impression, Armor a été l'une des premières entreprises à fabriquer du film carbone en Europe. Aujourd'hui, Armor, c'est 100 M€ de chiffre d'affaires, 650 employés, 5 sites de production dans le monde, 50% de part de marché en Europe.

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L'Espagne révise encore à la baisse ses aides au solaire

Centralesphotovoltaïques>Espagne>Politique/Réglementation
19-06-2010 09:35:58 :

Les aides aux énergies renouvelables sont de nouveau sur la sellette en Espagne, et le solaire pourrait être le plus touché. Selon des rumeurs, le gouvernement envisagerait en effet une baisse des tarifs d'achat de 45% pour les futures grandes centrales photovoltaïques au sol et de 25% pour les futures centrales en toiture, et globalement de 30% pour les centrales existantes, en limitant notamment le nombre d'heures de production ouvrant droit aux subventions. Une loi à effet rétroactif donc…

Après une explosion en 2008 et quelque 18 milliards d'euros d'investissements industriels, le solaire espagnol a vu ses aides plafonnées en 2009, ce qui a fait s'écrouler le marché, et entraîné la faillite de nombre de sociétés. Une nouvelle révision de cette ampleur aurait un impact considérable, juge l'ASIF, la fédaration espagnole du photovoltaïque, citée par Green Univers. L'ASIF avait été créée en 1998 par Altersa, BP Solar et Isofoton.

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La baisse des tarifs d'achat toujours en suspens en Allemagne

Centralesphotovoltaïques>Allemagne>Politique/Réglementation
19-06-2010 09:33:54 :

En Allemagne, la baisse des tarifs d'achat prévue au 1er juillet, est toujours en suspens ; après une première session le 16 juin dernier, le comité de médiation engagé par le Bundesrat, -conseil fédéral des 16 Länder allemands-, les médiateurs ont convenu de se retrouver avec de nouvelles propositions le 5 juillet. Il y a fort à parier qu'il ne s'agit là que d'un délai tactique, le parlement ayant décidé de camper fermement sur ses positions, avec le soutien du gouvernement…

Rappelons que le gouvernement allemand veut réduire les tarifs d'achat de l'électricité photovoltaïque de 16% pour les centrales PV en toiture et de 11 à 15% pour les centrales PV au sol, et exclure les centrales PV sur terres agricoles du dispositif. Le Bundesrat veut, lui, limiter à 10% au maximum la diminution des tarifs d'achat de l'électricité photovoltaïque outre-Rhin, suivant en cela l'opinion des fédérations industrielles du secteur.

Dans tous les cas, quelle que soit la décision finale du comité de médiation et des discussions parlementaires qui s'ensuivront, le résultat pourra être applicable rétroactivement au 1er juillet. Il existe en effet outre-Rhin le principe de « fausse rétroactivité », qui permet de faire une exception à l'interdiction de rétroactivité lorsque la modification d'une loi était connue.

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Suppression de niches fiscales : le solaire dans la ligne de mire ?

Centralesphotovoltaïques>Revue de presse>France>Politique/Réglementation
19-06-2010 09:21:59 :

A lire sur le blog d'Arnaud Gossement, l'ancien porte-parole de France Nature Environnement, maître de conférences à Sciences Po Paris et avocat en droit de l'environnement et de l'énergie, un projet de suppression de deux niches fiscales dont l'une concerne le solaire par la commission mixte paritaire réunissant députés et sénateurs pour fixer le texte définitif du projet de loi Grenelle 2

Le projet porte sur la disposition du texte qui "visait à exonérer d'impôt sur les sociétés le produit provenant de la vente d'électricité produite à partir d'installations photovoltaïques d'une puissance de moins de 3 kW".

Pour en savoir plus, cliquer ici

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Total et Abengoa en partenariat avec Masdar pour une centrale solaire de 100 MW au Moyen-Orient

Autretechno>Solairethermique>France>Espagne>Reste du monde>Grands programmes>Investissements>Accords
15-06-2010 18:18:36 :

Un consortium composé de Total et d'Abengoa Solar va réaliser une centrale solaire à concentration (CPV), ou thermodynamique, de 100 MW aux Emirats Arabes Unis, en partenariat avec Masdar, une initiative lancée par le gouvernement d'Abou Dhabi. Le projet représenterait un investissement de 600 M$…

Financé par la Mubadala Development Company, Masdar a pour objectif de promouvoir le développement, la commercialisation et le déploiement des énergies renouvelables, en suscitant une prise de conscience des énergies « vertes » dans un pays où la production d'énergie est, et restera, très largement dominée par les énergies fossiles. Partant, Abou Dhabi s'est fixé pour objectif de produire 7% d’énergie d’origine renouvelable d’ici à 2020.

La centrale CPV Shams 1 sera installée à Madinat Zayed, environ 120 km au sud-ouest d’Abou Dhabi, par une société commune créée à cet effet par Masdar (60%), Total (20%) et Abengoa Solar (20%). Sa construction devrait débuter au 3e trimestre 2010. Elle comprendra 768 récepteurs à miroirs paraboliques, occupera une surface de 2,5 km2 et devrait être opérationnelle avant fin 2012. Pour éviter l'encrassement des miroirs par le sable, les porteurs de projet prévoient un système de lavage de nuit avec de l'eau recyclée.

L'Espagnol Abengoa Solar est, lui, un spécialiste du secteur CPV avec actuellement, en exploitation ou en construction, des centrales solaires photovoltaïques et thermodynamiques (CPV) d'une puissance totale de 493 MW.

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Appel d'offres pour des centrales solaires cumulant une puissance de 100 MW en Arizona

Silicium>Couches minces>Autretechno>Centralesphotovoltaïques>Etats Unis>Grands programmes
15-06-2010 18:15:29 :

L'énergéticien américain SRP vient d'annoncer le lancement d'un appel d'offres pour plusieurs centrales photovoltaïques de 5 à 20 MW (de préférence), qui devraient être installées dans la région de Phoenix (Arizona). Les constructions devrait se faire en deux étapes, une première tranche d'une puissance cumulée de 50 MW serait à réaliser d'ici l'automne 2012 …

Une deuxième tranche de 50 MW également serait à concrétiser en 2013.

Pour plus d'informations, cliquer ici

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Concentrix rejoint l'initiative Desertec

Centralesphotovoltaïques>Solairethermique>Europe>Reste du monde>Grands programmes
15-06-2010 18:11:27 :

Première société spécialisée dans le solaire à concentration (CPV) à rejoindre le consortium Desertec, Concentrix, filiale du groupe Soitec, compte apporter au groupement d'industriels une contribution majeure grâce à sa technologie particulièrement adaptée au taux d'ensoleillement en Afrique du Nord et au Moyen-Orient…

Rappelons que l'initiative Desertec, fondée en 2009 s’est donné pour objectif de créer le cadre nécessaire pour produire une énergie durable et respectueuse de l’environnement à partir du potentiel énergétique des déserts du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord et de préparer la connexion avec le marché européen de l’énergie.

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Coup de théâtre en Allemagne : la baisse des tarifs d'achat remise en question !

Centralesphotovoltaïques>Allemagne>Politique/Réglementation
07-06-2010 22:12:41 :

Le Bundesrat, conseil fédéral des 16 Länder allemands, veut limiter à 10% au maximum la diminution des tarifs d'achat de l'électricité photovoltaïque outre-Rhin. Il a décidé de faire appel à un comité de médiation à propos de l'amendement à la loi sur les tarifs d'achat proposée par le gouvernement allemand et votée par le parlement début mai. La baisse supplémentaire annoncée pour le 1er juillet prochain pourrait néanmoins entrer en vigueur, avec un peu de retard et un effet rétroactif…

Le gouvernement allemand voulait réduire les tarifs d'achat de l'électricité photovoltaïque de 16% pour les centrales PV en toiture et de 11 à 15% pour les centrales PV au sol, et exclure les centrales PV sur terres agricoles du dispositif.

Les états fédéraux opposés à cette mesure, essentiellement la Bavière et le Bade-Wurttemberg, là où les centrales PV sont les plus nombreuses, et des états de l'est du pays où l'industrie du solaire est fortement implantée, ont maintenant utilisé la seule arme à leur disposition.

Dans tous les cas, quelle que soit la décision du comité de médiation et des discussions parlementaires qui s'ensuivront, le résultat pourra être applicable rétroactivement au 1er juillet. Il existe outre-Rhin en effet le principe de « fausse rétroactivité », qui permet de faire une exception à l'interdiction de rétroactivité lorsque la modification d'une loi était connue.

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Directive RoHS : Bruxelles épargne le photovoltaïque et donne rendez-vous en 2014

Panneaux >Europe>Politique/Réglementation>Industrialisation
07-06-2010 22:11:21 :

A priori, le cadmium est un métal lourd toxique qui est interdit dans l'électronique ... sauf exception(s). Les énergies renouvelables en général, et le photovoltaïque en particulier, constituent désormais une de ces exceptions puisque le comité environnement de l'Union européenne a décidé la semaine dernière de l'exclure, comme l'éolien d'ailleurs, de la directive RoHS ... jusqu'à une prochaine révision prévue en décembre 2014…

Le parlement européen, qui normalement respecte les orientations préconisées par le comité environnement, devrait donc voter en ce sens lors de la session plénière en juillet prochain.

First Solar, fabricant américain de panneaux PV couches minces en CdTe et leader mondial dans ce secteur, a donc gagné la bataille contre (presque) le reste du monde, et notamment les fournisseurs allemands. Ses arguments : d'une part, le tellurure de cadmium serait solidement pris en sandwich entre les plaques de verre sans risque de fuite et, d'autre part, il existerait un programme de reprise des panneaux usagés et des sites de recyclage.

Rappelons que la directive européenne RoHS, entrée en vigueur au 1er juillet 2006, vise à interdire, ou du moins limiter, l'usage de six substances dangereuses dans les matériels électriques et électroniques. Outre le cadmium, il s'agit du plomb, du mercure, du chrome hexavalent, des polybromobiphényles et des polybromodiphényléthers.

Si le parlement européen confirme cette fois l'exclusion des énergies renouvelables de la directive (au même titre que certains matériels militaires ou industriels, par exemple) la prochaine révision fin 2014 risque de donner lieu à des discussions plus serrées, l'industrie ayant a priori désormais le devoir de développer des solutions alternatives.

D'autres substances comme les retardateurs de flamme halogénés, ou encore le PVC, seront également sur la sellette.

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L'industrie européenne est prête à co-financer sa R&D dans le solaire avec 1,2 milliard d'euros !

Silicium>Couches minces>Autretechno>Centralesphotovoltaïques>Panneaux >Cellules >Europe>Subventions/Aides financières>Grands programmes
01-06-2010 18:54:58 :

L'Europe du solaire lancera, le 3 juin prochain à Madrid, un programme intitulé Solar Europe Industry Initiative (SEII) regroupant les actions nécessaires afin d'atteindre une part de 12% d'électricité photovoltaïque dans le mix énergétique d'ici 2020 ; un investissement de 1,235 milliard d'euros, dont 60% proviendrait de l'industrie et 40% des aides publiques, sera nécessaire afin d'assurer la compétivité de l'Europe dans tous les segments de marché du secteur …

Dans le cadre de la présidence espagnole de l'Union européenne, l'EPIA présentera, en coopération avec l'European Photovoltaic Technology Platform, le programme SEII et les actions détaillées nécessitant 1,235 milliard d'euros d'investissements dans la recherche et le développement sur la période 2010-2012.

Les deux entités ont travaillé conjointement avec la Commission européenne et des représentants des états membres pour élaborer cette initiative.

Résultat : 16 états membres se sont engagés à supporter la partie photovoltaïque du programme SEII et ont identifié les actions les plus prioritaires à court terme. Ces actions sont : le développement de procédés de fabrication pour toutes les technologies PV, en visant réduction des coûts et amélioration de la productivité ; le développement de produits et d'applications intégrés au bâti (BIPV) en visant faible coût et simplicité d'intégration ; et la démonstration de la technologie PV à concentration sur le terrain. Un accord a aussi été trouvé sur le long terme afin de se concentrer sur les matériaux (y compris les cellules solaires organiques) et le développement de panneaux PV intelligents pour une meilleure intégration dans le réseau électrique.

Le support politique passe par des tarifs d'achat incitatifs

« Si l'Europe veut rester leader dans le photovoltaïque, l'EPIA ne peut qu'encourager la Commission européenne et les états membres à implémenter le plus vite possible le programme SEII en créant des mécanismes financiers efficaces et en augmentant de façon significative les budgets publics pour la R&D », souligne l'EPIA dans un communiqué. « Alors que l'Europe a passé plus de 3 ans à discuter autour du programme SET, ou Plan Statégique pour les Technologies Energétiques, d'autres régions, en Asie et aux Etats-Unis, ont continué à soutenir la R&D de leurs industries pour entraîner directement une baisse des coûts de production. »

La R&D n'est toutefois pas le seul ingrédient de la compétitivité : la capacité de production est tout aussi importante pour atteindre des économies d'échelle. Le support financier des autorités publiques, notamment sous la forme de tarifs d'achat, reste nécessaire afin d'assurer une croissance stable du marché.

« La R&D seule ne suffit pas et n'a aucun impact sur la compétitivité si elle ne s'accompagne pas par une augmentation des volumes de production et le développement du marché. La diminution des prix de 40% en 2009 et de 50% sur les deux dernières années est la preuve que le support politique reste nécessaire pour atteindre des économies d'échelle par l'augmentation des volumes de production », précise ainsi Virgilio Navarro, vice-président de l'EPIA et CEO d'Atersa.

Les mesures mentionnées doivent donc s'accompagner d'une amélioration de la régulation d'accès au marché, d'un renforcement des réseaux de distribution et d'une augmentation de la capacité de transmission.

Photo Phoenix Sonnenstrom

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Révision de la directive RoHS : le photovoltaïque dans la ligne de mire de Bruxelles ?

Silicium>Couches minces>Autretechno>Europe>Politique/Réglementation
01-06-2010 18:07:28 :

Pour ou contre les panneaux photovoltaïques couches minces en CdTe ? La discussion est d'actualité à l'occasion d'une révision de la directive RoHS sur la restriction de “substances hasardeuses” comme le plomb, le mercure ou encore le cadmium et leur remplacement par des solutions alternatives dans l'industrie électronique. La Commission européenne ne semble pas avoir l'intention d'inclure les panneaux solaires dans la directive, mais l'industrie du solaire est, elle, divisée …

La révision de la directive RoHS devrait être entérinée courant juin à Bruxelles.

La discussion porte essentiellement sur l'interdiction du cadmium, qui est utilisé, notamment par First Solar, General Electric, PrimeStar ou encore Abound Solar dans les panneaux PV couches minces en tellurure de cadmium, mais aussi du plomb utilisé pour les soudures. Ces substances sont problématiques par exemple en cas d'incendie, de casse, de ruissellement des eaux ...

L'harmonisation des directives RoHS (sur la restriction des substances toxiques) et WEEE (sur la collecte et le recyclage des équipements électroniques et électriques) est à l'ordre du jour à Bruxelles depuis 2008, avec diverses propositions pour en améliorer à la fois la portée et les objectifs.

Après un amendement de la Suède fin 2009 afin d'inclure tous les équipements électriques et électroniques, qui viserait également l'industrie du solaire et donc les produits photovoltaïques, d'autres amendements ont suivi, avec des propositions d'exemption totale pour les énergies renouvelables, d'une exemption spécifique pour le CdTe, ou encore des exemptions temporaires jusqu'au 1er juillet 2014 voire au 1er juillet 2018 afin de laisser à l'industrie le temps de mettre en place des procédés et des produits de remplacement.

Création de la Non-Toxic Solar Alliance

L'EPIA s'est fait l'avocat d'une exclusion explicite des panneaux PV de la directive. Dans les panneaux PV, la couche, très mince, de tellurure de cadmium est encapsulée de façon parfaitement étanche entre deux plaques de verre. Diverses études auraient montré que les panneaux PV, avec une durée de vie de 25 ans et plus, ne présentent pas de risques environnementaux, parce qu'il existe des programmes de recyclage déjà en place aussi bien pour les panneaux avec des cellules solaires en silicium cristallin (PV Cycle) que pour les couches minces.

La Non-Toxic Solar Alliance est, elle, une initiative créée à Berlin début 2010 principalement par des scientifiques et des universitaires, et soutenue par des industriels tels que Dyesol. Très active depuis ce printemps, elle prône une exclusion totale de tout produit susceptible d'être toxique, ou au moins une substitution à court terme de tout produit toxique utilisé aujourd'hui. Selon elle, les énergies renouvelables se doivent d'être sans le moindre risque pour l'environnement. Il existerait en outre de nombreuses technologies PV (notamment CIS, CIGS et silicium amorphe) ne contenant aucune substance considérée comme dangereuse selon la directive RoHS. Enfin, l'inclusion des panneaux PV dans la liste des produits soumis à la directive encouragerait encore le développement de ces technologies.

First Solar, leader mondial des panneaux PV couches minces en CdTe, estime, lui, être l'objet d'une « attaque ciblée » de la part des anti-CdTe.

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Siemens rejoint le projet Transgreen

Centralesphotovoltaïques>Solairethermique>Energies renouvelables>France>Reste du monde>Grands programmes
26-05-2010 14:51:18 :

Siemens a dévoilé son intention de rejoindre le projet Transgreen, un vaste projet qui devrait être mené par un consortium du même nom sous l'égide d'EDF dans le cadre du Plan solaire méditerranéen et qui vient d'être présenté officiellement lors de la réunion des ministres de l'énergie de l'Union pour la Méditerranée au Caire …

L'objectif de Transgreen consiste à mettre en place une production de quelque 20 GW d'énergies renouvelables (solaire et éolien) dans des pays du pourtour de la « grande bleue » ainsi qu'un réseau de liaisons électriques traversant la Méditerranée afin d'acheminer de l'électricité solaire produite vers la France et, peut-être, vers l'Europe. Le projet, comme Desertec par ailleurs, n'en est qu'à ses débuts.

Siemens serait ainsi le premier industriel à participer aux deux grands projets de ce type, Desertec et Transgreen.

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PV Legal : la base de données sur les freins aux investissements dans le photovoltaïque en Europe est disponible

Centralesphotovoltaïques>France>Europe>Politique/Réglementation
19-05-2010 01:07:54 :

Le consortium regroupant 12 associations européennes actives dans le solaire menées par le syndicat professionnel allemand BSW-Solar qui coordonne l'ensemble, vient de publier la base de données prévue dans le cadre du projet PV Legal, qui récapitule les barrières et problématiques des investissements dans le photovoltaïque et de la connexion au réseau en Europe …

Rappelons que PV Legal s'est fixé pour objectif de réduire, voire de supprimer les barrières administratives afin de réduire les délais de connexion d'une installation au réseau électrique.

Le consortium prévoit notamment de fournir des recommandations aux opérateurs des réseaux électriques des différents marchés européens afin d'améliorer et de simplifier le cadre administratif de la production d'électricité solaire.

Pour exemple, PV Legal indique notamment la grande différence des coûts hors matériel entraînés par la bureaucratie requise dans le planning d'un projet : 7% du coût d'un projet en Allemagne, contre 23 à 39% en Grèce ou en Espagne, en moyenne ...

Enerplan et le SER/Soler sont impliqués dans PV Legal pour la France. L'EPIA et la société de conseil Eclareon sont également des partenaires de ce projet, soutenu par l'initiative européenne Intelligent Energy Europe.

Pour plus d'informations :
PV Legal

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CSP : le Département américain de l'énergie débloque 62 M$ d'aides

Solairethermique>Etats Unis>Subventions/Aides financières
19-05-2010 01:04:58 :

Le Département américain de l'énergie vient de débloquer 62 millions de dollars de subventions pour 13 projets dans le solaire thermodynamique (ou solaire à concentration, CSP), qui portent soit sur des études de faisabilité de systèmes CSP complets, soit sur des études de faisabilité au niveau des concepts et des composants notamment pour le stockage de l'énergie …

Le dénominateur commun à tous les projets réside dans l'amélioration de la durée opérationnelle des systèmes CSP à 18 heures/jour en moyenne, soit un niveau de production qui permettrait à ces centrales solaires de remplacer des centrales au charbon.

Pour plus de détails concernant les projets subventionnés, cliquer ici

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Les listes des procédés d'intégration photovoltaïques du CEIAB seront publiées au 1er septembre

Centralesphotovoltaïques>Panneaux >France>Politique/Réglementation
19-05-2010 00:56:07 :

Le CEIAB (Comité d'Evaluation de l'Intégration Au Bâti) vient de repousser au 1er septembre la disponibilité, sur son site Internet, des listes des solutions photovoltaïques éligibles au tarif d'achat d'intégration au bâti (0,58 ou 0,50 €/kWh) ou d'intégration simplifiée au bâti (0,42 Euro/kWh) …

Avant d’installer un dispositif photovoltaïque sur un bâtiment, tout porteur de projet (maîtres d'ouvrage, prescripteurs et installateurs) est invité à vérifier que le procédé d'intégration photovoltaïque qu’on lui propose a fait l’objet d’une demande auprès du CEIAB et a été classé comme éligible au tarif d’intégration ou d'intégration simplifiée au bâti.

Le CEIAB n'examine que les critères techniques d'intégration, définis par l'annexe 2 de l'arrêté du 12 janvier 2010, modifié par l'arrêté du 16 mars 2010, et non pas les critères non techniques (âge, usage, clos et couvert du bâtiment), qui sont variables d'un projet à l'autre et doivent être respectés par le porteur de projet.

Pour en savoir plus en ce qui concerne le fonctionnement de l'entité, veuillez consulter le site du CEIAB

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Objectif Quali'PV : 1800 installateurs seront audités fin 2010 !

Centralesphotovoltaïques>France>Politique/Réglementation
10-05-2010 15:20:11 :

Démarrés fin mars 2010, les audits Quali'PV effectués par Quali'EnR visent à terme les 6727 entreprises répertoriées « photovoltaïque » par l'organisme; 1800 d'entre elles seront concernées d'ici la fin de l'année …

Les audits visent, d'une part, à garantir le travail de qualité des installateurs et, d'autre part, à radier les entreprises défaillantes. Qualit'EnR a aussi mis en place une veille sur l'usage frauduleux de ses marques.

« Les audits, indispensables à la cohérence de nos appellations, sont désormais entrés dans une phase de volume. Ils permettront de poursuivre la construction d'une filière photovoltaïque qualitative et pérenne Par conséquent, les particuliers pourront choisir en toute confiance le professionnel qui leur permettra de réduire leur facteur énergétique », précise Nadia Beckerich, délégué général de Qualit'EnR, dans un communiqué de presse en réponse à un récent documentaire d'Envoyé Spécial sur France 2. Selon Qualit'EnR, ce documentaire « un tantinet caricatural a jeté un trouble sur la profession ! »

Rappelons que l'appellation Quali'SOL a été lancée en 1999 par l'Ademe. Gérée aujourd'hui par Qualit'EnR, elle est décernée après une formation théorique et pratique conçue pour apporter en quelques jours les compétences spécifiques à l'installation PV à des professionnels de la couverture et de l'électricité. Elle s'accompagne d'une vérification de l'activité et des assurances et de la signature d'une charte qualité. Un audit est ensuite prévu tous les trois ans.

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1,64 M€ de subventions européennes pour un projet de cellules solaires en polymère

Couches minces>Cellules >Labos>Europe>Subventions/Aides financières>R&D
10-05-2010 14:45:51 :

L'Université de Bayreuth coordonne un projet de recherche et développement portant sur des cellules solaires en polymère auquel participent des instituts de recherche du Danemark, des Pays-Bas, d'Israël ainsi qu'un consortium d'industriels d'Inde ; prévu pour une durée de trois ans, le projet est subventionné à hauteur de 1,64 M€ par Bruxelles …

L'objectif du projet consite à mettre au point une méthode de production de cellules solaires par impression, en coopération avec la société hollandaise Mekoprint.

Les tests de stabilité des cellules solaires seront effectués en Israël et en Inde, dans des environnements à très fort taux d'ensoleillement.

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Solaire à concentration : lancement du projet français de R&D MiCST

Autretechno>Solairethermique>France>Grands programmes>R&D
03-05-2010 18:22:20 :

Schneider Electric vient de démarrer le projet collaboratif MiCST, pour MicroCentrale Solaire Thermodynamique, qui consiste à concevoir et développer une centrale solaire originale, utilisant le rayonnement solaire pour chauffer une réserve d'énergie thermique alimentant une machine thermodynamique couplée à un alternateur de 10kW, le tout dans le but de générer de l'électricité …

La solution devra s'adapter à tout site non raccordé au réseau électrique. Elle sera plus particulièrement destinée aux pays en voie de développement bénéficiant d'un fort taux d'ensoleillement. Simple d'installation et de maintenance, elle pourra être adoptée facilement par les populations locales. Défi technique et technologique majeur, elle prendra en compte des critères exigeants de robustesse, de coût réduit et d'éco-conception.

D'une durée de 42 mois, ce projet, qui bénéficie du soutien de l'ADEME, coordonne les compétences de 12 partenaires industriels et scientifiques.

Chef de file de ce projet, Schneider Electric a en effet rassemblé à ses côtés l'Institut National de l'Energie Solaire (CEA/INES), Exosun, Sophia-Antipolis Energie Développement, Barriquand Technologies Thermiques, Défi Systèmes, Stiral, Mecachrome France, le Laboratoire d'énergétique, de mécanique et d‘électromagnétisme (Université Paris Ouest), le Laboratoire d'énergétique et de mécanique théorique et appliquée de Nancy, Cedrat Technologie et le G2ELab. En fédérant ces acteurs, le projet crée une dynamique nationale pour la R&D dédiée à la production d'énergie solaire à l'aide de systèmes thermodynamiques.

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