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Stratégie : 8 article(s).
Trackers solaires : un marché mondial dominé par des fabricants américains

Autres composants>Conjoncture>France>Etats Unis>Stratégie
18-05-2015 12:29:26 :

Le marché mondial des trackers solaires a progressé de plus de 60% l'an passé pour atteindre un volume de livraisons de 4 GW, selon la société d'études de marché IHS. Les quatre premiers fournisseurs sont Array Technologies, SunPower, First Solar et Nextracker, tous américains, suivis du Français Soitec en 5e position, qui a toutefois annoncé son retrait du marché du solaire il y a quelques mois*. Les Français Exosun et Optimum Tracker sont, eux, en chemin vers l'internationalisation …
 
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Les trois plus grands fabricants de trackers auraient détenu 40% du marché mondial l'an passé, selon IHS. « Les Etats-Unis représentaient le plus gros marché pour les trackers en 2014, il n'est donc pas surprenant que les plus grands fournisseurs, basés sur place, aient dominé le marché », souligne Cormac Gilligan, analyste senior chez IHS Technology. Toutefois, l'Américain Array Technologies qui est essentiellement présent sur le marché étatsunien et qu'IHS liste toujours comme le premier fabricant mondial de trackers, a vu chuter de 20% sa part de marché en 2014 à cause de la montée en puissance de ses concurrents. Il peaufine actuellement une stratégie d'internationalisation. Des sociétés comme SunPower, First Solar et d'autres fournisseurs de modules PV disposant aussi de technologies propriétaires de trackers emploient en effet de plus en plus leurs propres suiveurs solaires à un seul axe pour leurs projets. « First Solar a été lent à passer des trackers fixes inclinés à des suiveurs à un axe malgré l'acquisition de son compatriote RayTracker en 2011 », précise Cormac Gilligan. La baisse rapide des prix des trackers et les rendements supérieurs qu'ils offrent en termes de bilan énergétique d'une centrale PV devraient changer la donne en 2015.

L'Américain Nextracker aurait bénéficié l'an passé de contrats avec SunEdison et aurait déjà une forte présence en dehors des Etats-Unis, selon IHS. Le Français Soitec, présent sur le marché des centrales photovoltaïques à concentration (CPV) avec des trackers à deux axes, arrivait, lui, en 5e position en 2014 grâce à quelques projets de grande taille, mais a depuis annoncé son désengagement du marché du solaire suite à la perte de gros projets outre-Atlantique.

Les sociétés françaises Exosun et Optimum Tracker, respectivement été créées en 2007 et 2009, montent, elles, en puissance. Exosun, qui a vu l'Ademe entrer à son capital avec 6 millions  d’euros au cours d’une levée de fonds de 12 millions d’euros en 2012, a signé ses premiers contrats à l'international en 2014, aux Etats-Unis. Elle a aussi ouvert un bureau en Afrique du Sud, et vient de signer un contrat de fourniture au Mexique avec un partenaire local, Forza Systems, pour des trackers Exotrack HZ destinés à un projet PV pilote de 146 kWc à Caborca, dans l’état de Sonora, qui devrait être opérationnel fin juillet 2015. Première étape d’un accord cadre pluriannuel, cette livraison inclut un engagement de production locale des trackers. La firme projette de devenir active au Brésil et au Pérou encore cette année. Sur l'exercice fiscal clos au 30 avril 2014, elle a réalisé un chiffre d'affaires de 20 millions d'euros.

Optimum Tracker a, pour sa part, honoré ses premiers contrats sur des centrales PV de grande taille réalisées avec de grands développeurs français et déjà opérationnelles : 3,5 MW à Podio Alto dans le Gard (Générale du Solaire), 4,9 MW à Sénezergues dans le Cantal (Solairedirect), 12 MW à Garein dans les Landes (CAM Energie), 3,5 MW à Pujaut dans le Gard (Générale du Solaire)... D'autres réalisations sont en cours, dont une de 15 MW à Le Soler pour Arkolia Energies. Les prochaines étapes de son développement se situent au Chili et en Afrique du Sud où la jeune pousse a récemment ouvert des bureaux.

Au-delà, la France compte encore au moins un autre fournisseur de trackers solaires, Les Traqueurs d'Energie (LTE), une société créée en 2008 à Ploermel, spécialiste des installations solaires photovoltaïques, qui propose des modèles à un ou deux axes et réalise des développements sur mesure.

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Solairedirect poursuit son internationalisation

CentralesPV>France>Etats Unis>Reste du monde>Stratégie
18-05-2015 12:21:10 :

Le report de son introduction en bourse n'a pas freiné l'élan de Solairedirect à l'international. La firme vient ainsi de sécuriser des financements pour plusieurs centrales photovoltaïques, dont une de 26,5 MW en Californie, et deux autres cumulant une puissance de 72 MW au Chili …



Au Chili, les projets solaires de Denersol et Canto del Agua d’une capacité totale de 72 MW se situent dans le désert de l'Atacama. Ces sites seront conçus et installés par Solairedirect Chili pour le développeur Abantia Sun Energy. Ils équipés de trackers. Leur construction débutera au 4e trimestre 2015. Rappelons que Solairedirect a déjà réalisé une centrale PV au Chili , à Andacollo, en 2013 avec un contrat d’achat d’électricité de gré à gré, sur la base des prix de marchés de gros de l'électricité. La société a depuis aussi obtenu un financement de 43,6 millions d'euros auprès de la Banque interaméricaine de développement (BID) pour un projet de 53,8 MW à Los Loros, également dans le désert de l'Atacama, dont la construction doit débuter dans les prochaines semaines.

Le parc solaire Adera de 26,5 MW, situé dans le comté de Madera en Californie, a été financé auprès de sPower, un producteur d'électricité indépendant qui fait partie du portefeuille de sociétés du fonds d’investissement Fir Tree Partners. Ce projet sera conçu et construit par Solairedirect USA. La construction devrait démarrer encore au cours du 2e trimestre 2015, et être finalisée d’ici la fin de l’année. Adera Solar LLC a par ailleurs conclu un contrat d’achat d’électricité de gré à gré sur 20 ans (PPA) avec Southern California Edison (SCE).

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Tesla gagne plusieurs partenaires autour de son système de stockage de l'électricité solaire

CentralesPV>Conversion >Autres composants>Stratégie
11-05-2015 15:42:04 :

Le fabricant américain de véhicules électriques Tesla Motors, et son président-directeur général Elon Musk, font le buzz depuis la semaine dernière après l'annonce de la gamme Tesla Powerwall, une offre de stockage de l'électricité solaire sur batteries Li-ion à bas coût pour le résidentiel. Le nombre de sociétés souhaitant qui une coopération qui un partenariat avec l'Américain pour participer d'une façon ou d'une autre à cette offre ne cesse de grandir …



Le premier partenaire officiel aura, bien sûr, été SolarCity, le leader des installateurs dans le photovoltaïque résidentiel outre-Atlantique qui s'est empressé de dévoiler une solution de stockage d'électricité solaire clés en mains pour le résidentiel a priori plus de deux fois moins coûteuse que les offres existantes. Les premiers systèmes pourraient être livrés à partir d'août 2015. Les Powerwall sont susceptibles de stocker 7 kWh (pour un stockage quotidien) ou 10 kWh (pour un stockage de sauvegarde), respectivement pour un coût de 3000 ou 3500 dollars (aux Etats-Unis). Les batteries seront fabriquées dans un premier temps dans l'usine Tesla de Californie, et à partir de 2017 sur un site au Nevada où l'Américain est en train de se doter d'une « gigafactory ».

Fronius a, pour sa part, fait savoir que la « Tesla Home Battery » serait disponible sur le marché en association avec l'onduleur Fronius Symo Hybrid à partir du 4e trimestre 2015, dans un premier temps en Allemagne puis dans d'autres pays d'Europe et en Australie. Fronius proposera indifféremment sa Fronius Solar Battery ou la Tesla Home Battery dans ses systèmes avec stockage. Le fabricant autrichien a déjà coopéré avec l'Américain sur les modèles de véhicules électriques de type limousine Tesla Model S premium et voiture de sport Tesla Model X.

En Allemagne, le fournisseur d'électricité verte Lichtblick, sis à Hambourg, souhaite intégrer le système « Powerwall Home Battery » dans son offre.

La société israélienne Solaredge Technologies, spécialiste des optimiseurs de bilan énergétique, développe un onduleur compatible avec la gamme Powerwall.

La société britannique d'études de marché Lux Research souligne que ces partenariats sont indispensables pour que l'offre de Tesla puisse vraiment être disruptive sur le marché de l'énergie et du stockage. Des accords avec des fabricants de composants de puissance, des développeurs de logiciels, et même avec des énergéticiens seraient aussi nécessaires. « Des cellules Li-ion fabriquées à bas coût dans une méga-usine ne sont qu'une pièce du puzzle », déclare ainsi Dean Frankel de Lux Research. « Contrairement aux véhicules électriques, les batteries stationnaires bénéficieraient d'une plus grande intégration verticale. A défaut, Tesla risque fort de limiter sa croissance potentielle. » Lux Research a identifié trois critères clés à améliorer pour Tesla et la réussite de son objectif de commercialiser 15 GWh de stockage d'ici 2020 :
1) la baisse des coûts au-delà des cellules Li-ion : à 350 $/kWh, Tesla s'affiche comme un leader dans les packs Li-ion grâce à son partenariat avec Panasonic et sa future méga-usine. Mais les utilisateurs de la Powerwall doivent encore s'équiper d'un onduleur et tenir compte des coûts d'installation ce qui peut aisément doubler le prix de la version d'entrée de gamme proposée pour 3000 dollars. Tesla devra donc faire en sorte de compresser aussi ces coûts associés, ou le faire soi-même en produisant par exemple les onduleurs en interne, dans une autre méga-usine ;
2) l'offre de modèles commerciaux : Tesla et SolarCity ont jusqu'ici surfé sur la vague du programme d'aides financières pour le solaire et les véhicules électriques en Californie. Dorénavant, pour continuer à croître sur le long terme, Tesla doit mettre en place de nouveaux modèles commerciaux avec des options de financement au-delà du résidentiel, et s'ouvrir aux autres marchés ainsi qu'à l'international ;
3) la coopération avec les énergéticiens : l'avènement du solaire distribué est un élément de plus en plus disrupteur dans les relations entre les fournisseurs d'énergie et leurs clients. Tesla devrait travailler en commun avec les énergéticiens et les opérateurs de réseaux électriques pour que son offre devienne un outil clé dans la gestion de l'énergie et du réseau.

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Solairedirect reporte son introduction en bourse

CentralesPV>Intégrateurs>France>Investissements>Stratégie
04-05-2015 14:24:00 :

Le solaire compétitif ne séduit apparemment pas encore assez d'adeptes. Juste avant la date prévue pour son entrée en bourse, Solairedirect a en effet décidé de reporter son opération. « L’introduction en bourse a rencontré un large intérêt et une demande diversifiée et de qualité de la part des investisseurs. Toutefois, Solairedirect n’a pas été en position de pouvoir allouer de manière adéquate la transaction », est-il précisé dans un communiqué de presse …

Solairedirect avait dévoilé une fourchette indicative de 16 à 21,50 euros pour le coût de l'action pour son IPO sur Euronext Paris (voir notre article), valorisant ainsi la société à une moyenne de 386 millions d'euros pour une offre initiale qui devait lui rapporter quelque 217 millions d'euros, dont 80% à partir d'actions nouvelles et le reste avec la vente d'actions cédées par les investisseurs existants (et fondateurs de la société).

Avec cette introduction en bourse, Solairedirect comptait se renforcer au plan financier afin de pouvoir investir dans le développement de centrales PV en misant sur le solaire comme source d'énergie compétitive et sur sa stratégie à l'international dans un nombre de pays choisis pour leurs conditions d'ensoleillement comme, notamment, l'Inde, l'Amérique latine, etc.

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Silicor Materials concrétise son projet d'usine de silicium solaire en Islande

Silicium>Matériaux>Europe>Etats Unis>Investissements>Stratégie
04-05-2015 14:22:14 :

L'Américain Silicor Materials concrétise son projet d'implantation d'une usine de silicium solaire près du port de Grundartangi, en Islande. Ce choix géographique s'est fait dans la foulée des mesures prises par la Chine à l'encontre du silicium de source américaine, ce qui une mesure de rétorsion après l'impact des taxes antidumping sur les panneaux photovoltaïques assemblés en Chine et/ou utilisant des cellules solaires fabriquées en Chine. Annoncé en juillet 2014, le projet prévoit de produire jusqu'à 19000 tonnes de silicium par an, livrables pour les marchés mondiaux du solaire …

Un accord a été signé avec la société portuaire locale Faxafloahafnir afin d'assurer l'accès et la disponibilité nécessaire aux transports des matériaux.

Rappelons que le « silicium solaire » est aussi appelé silicium métallurgique, moins pur que le silicium classique utilisé pour les semiconducteurs. Le procédé de Silicor inclut une conversion du silicium en phase liquide et non gazeuse pour obtenir un matériau multicristallin. L'Américain estime pouvoir produire à faible coût, du fait d'une consommation d'électricité réduite de 2/3 comparé au procédé classique Siemens mais sans recourir à des produits chimiques toxiques comme le procédé FBR (Fluidized Bed Reactor). En choisissant l'Islande pour sa première grande usine, l'Américain mise aussi sur un bilan carbone favorable, l'électricité étant déjà en grande partie d'origine renouvelable dans ce pays.

Pour en savoir plus sur le procédé Silicor, cliquer ici

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Voltalia s’implante au Maroc

CentralesPV>France>Stratégie
27-04-2015 17:45:33 :

Voltalia, producteur d’électricité de sources renouvelables, confirme ses ambitions à l'international et ouvre une filiale, appelée VoltaMaroc, à Rabat, au Maroc, première de trois nouvelles implantations géographiques annoncées pour cette année. La société française vise à y développer, construire et exploiter des projets d’énergies renouvelables dans le solaire, l'éolien, l'hydraulique et la biomasse. Dans le solaire, elle a signalé son intérêt auprès de Masen, l’agence marocaine dédiée, pour participer à l'appel d'offres pour le photovoltaïque lancé par cette dernière dans le cadre du programme NOOR PV I …



Le projet NOOR PV I comprend la réalisation, le financement et l’exploitation d’une ou plusieurs centrales photovoltaïques à Ouarzazate (50 à 70 MW) et, potentiellement, à Lâayoune et Boujdour. « Le Maroc bénéficie de ressources exceptionnelles en énergies renouvelables et devra faire face à des besoins en électricité croissants à court terme et dans les décennies à venir. Nous nous inscrivons dans une logique à très long terme au Maroc, comme dans chacun des pays où nous sommes présents », déclare Sébastien Clerc, Directeur général de Voltalia.

La direction de Voltalia au Maroc a été confiée à Yoni Ammar qui, après une première expérience tournée principalement vers le secteur des énergies renouvelables au sein de la banque Natixis, a co-fondé en 2008 une entreprise de développement de projets solaires et éoliens en France, en Pologne et au Maroc. Yoni Ammar est ingénieur de l’Ecole Centrale de Lyon (2003) et diplômé d’un DEA de Génie Industriel (2003).

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S'Tile lève des fonds pour produire sa cellule solaire i-Cell

Silicium>Cellules >France>Investissements>Stratégie>Industrialisation
21-04-2015 12:18:38 :

La société S'Tile vient de lancer une levée de fonds pour un montant de 750000 euros auprès de Wiseed, une plateforme de crowdfunding, afin de compléter une ligne pilote de production de 15 MW/an pour sa technologie de cellule solaire innovante à haut rendement de conversion appelée i-Cell ou « cellule intégrée » puis de réussir l'industrialisation du produit d'ici 18 mois …



La « cellule intégrée » de S'Tile est une cellule sans busbar, produisant un faible courant et une haute tension. Elle utilise un support en silicium fritté à partir de poudres de silicium à bas coût sur lequel est collée une fine feuille de silicium monocristallin. Une i-Cell se compose de plusieurs sous-cellules connectées en série avec des étapes classiques de la fabrication de cellules solaires. La technologie affiche un rendement de conversion élevé, les 20% ayant déjà été dépassés en laboratoire. Elle présente divers avantages comparé aux filières silicium classique. Elle réduit les quantités de matériaux utilisés, le silicium d'un facteur 4 par réduction de l’épaisseur du wafer, l'argent d'un facteur 2 par suppression des busbars, et le cuivre d'un facteur 20 par connexion directe entre les cellules sur les côtés du support fritté au lieu des zones actives de la cellule elle-même, ce qui évite aussi les contraintes et les dégradations à long terme. La décomposition en quatre sous-cellules sur un même support fritté multiplie d'autant la tension. Haute tension et faible courant diminuent les pertes résistives. La combinaison de tous ces éléments permet de revendiquer des coûts de fabrication réduits de 30% comparé aux filières classiques en silicium.

Pour consulter le dossier de S'Tile sur la plate-forme de crowdfunding Wiseed, cliquer ici

La levée de fonds permettrait d'acheter les équipements nécessaires pour compléter la ligne de production pilote en cours de montage, et d'aller jusqu'à la qualification et la certification de la technologie d'ici l'an prochain. En 2017, S'Tile compte lancer la production de volume. Pour en savoir plus, cliquer
ici et ici

S'Tile est un essaimage du CNRS créé par son fondateur et président actuel Alain Straboni en 2007 à Poitiers. Sa technologie, brevetée en France, en Europe, aux États-Unis et en Chine, a aussi été développée en commun avec l'Institut Fraunhofer ISE de Freiburg (Allemagne).

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Solairedirect veut lever 217 M€ avec l'introduction en bourse

France>Investissements>Stratégie
21-04-2015 12:04:13 :

Solairedirect a démarré son IPO le 16 avril dernier avec une fourchette de prix de 16 euros à 21,50 euros par action. L'introduction en bourse impliquerait une capitalisation boursière à 386 millions d'euros. La taille initiale de l'offre est d'environ 217,4 millions d'euros, et inclut la cession de parts existantes par certains actionnaires financiers, dirigeants et salariés, actuels et anciens ; le début des négociations des actions Solairedirect sur le marché réglementé d’Euronext Paris est prévu pour le 30 avril …

Avec cette introduction en bourse, Solairedirect compte renforcer sa flexibilité financière et stratégique, notamment pour pouvoir réaliser des investissements dans des centrales solaires en gardant le contrôle d’un plus grand nombre d’entre eux afin de les valoriser en phase d’exploitation plutôt qu’au stade de pré-construction. Le groupe créé en 2006 avec l’objectif de rendre l’électricité solaire compétitive par rapport aux autres sources d’énergie a misé très tôt sur une stratégie de développement à l'international dans un nombre de pays choisis pour leurs conditions d'ensoleillement. L'énergie solaire est aujourd'hui déjà compétitive sans subventions par rapport à d'autres sources d'énergie sur plusieurs marchés, comme en témoignent des appels d’offres de par le monde aboutissant à des coûts d'exploitation de 50 à 90 $/MWh. Solairedirect a aujourd'hui un portefeuille de plus de 4 GW de projets en cours de développement, avec un carnet de commandes en France, en Inde, en Amérique Latine, aux États-Unis et en Asie du Sud. Sur l'exercice 2014, la firme a construit des projets d'une puissance cumulée de 106,5 MW et compte en réaliser environ 185 MW sur l'exercice 2015.

Les 57 centrales PV mises en service depuis sa création jusqu'au 31 mars 2015 ou encore en construction à cette date affichent une puissance cumulée de 487 MW : 392,4 MW se trouvent en France, 71,6 MW en Inde, 21,0 MW au Moyen-Orient et Afrique et 1,3 MW en Amérique Latine. En Inde, Solairedirect a pour objectif de développer et construire jusqu'à 2 GW de projets d'ici 2019, en phase avec l'objectif ambitieux du gouvernement du pays d'atteindre 100 GW de capacité en énergie solaire d'ici 2022, soit cinq fois la capacité de l'objectif national précédent. Un volume de 185,6 MW est déjà en phase avancée de déploiement ou de prise de commande dans trois états, au Rajasthan, au Telangana et, avec 54 MW obtenus tout récemment, dans le Pendjab. Cette diversité géographique montre aussi l'expérience du groupe dans le développement et dans la recherche de partenariats financiers avec des investisseurs, locaux ou non.

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